Saturday, March 01, 2008
Lazy sunday...
Envie de ne rien faire.
Pas envie d'aller faire les course malgré mon frigo vide. A peine le courage de me faire un thé. Je nage en plein apathie. Besoin de me secouer, besoin d'être secoué.
Au dehors, le soleil joue à cache-cache avec les nuages. J'ai la tête trop remplie, je n'arrive plus à y voir clair. Voir quoi? Je ne sais pas. Les choses se bousculent, s'entrechoquent, vide de sens. Le néant.
A quand la suite?
Sunday, January 13, 2008
Je nage dans les eaux vaseuses de la vie
La nuit m'enrobe de son manteau étoilé
Et entre ses bras gris j'y pleure mon ennuie
Et dépose les gouttes acides de mon passé.
Le silence fait écho dans cette ville qui dort
Que je regarde comme une étrangère en péril
Et je rie de toute l'ironie que me réserve mon sort
Le fleuve de ma vie fait des rêves de Nil
Et sur un nuage embrumé je m'échappe sans un bruit
Les yeux fermés pour ne pas ressentir la souffrance
avec gravé au fond du coeur le sourire de mes amis
et la bile qui me perce le corps en toute circonstance
Je me ferai aveugle pour enfin y voir clair
J'embrasserai la surdité pour entendre les vérités
Je scellerai ma bouche pour apprendre à ne plus me taire
Et j’étreindrai enfin la vie, les pieds et le mains liés…
Friday, December 14, 2007
Aussi discrètement qu'une particule de poussière
Emporté par le vent, je m'en irai n'importe où
Pour me faire recueillir par un rai de lumière
Car, comme les temps changent, je ne puis m'adapter
Au fond de moi, le sang figé ne circule plus
Je respire péniblement entourée d'un nuage de fumée
Où le passe, le présent et le futur se mêlent confus
Et l'or de mes yeux roule sur mes joues
J'observe immobile, incapable du moindre geste
Et doucement je m'en remets à vous
Je ne veux plus me battre, fatigué de faire semblant
Je veux épurer le superflu pour que le meilleur reste
Pour renaître de mes cendres, au creux d'un crépuscule naissant.
Monday, August 27, 2007
Monday, August 20, 2007
Monday, July 09, 2007
Cadavre exquis
Sous mes pieds douloureux d'avoir marché trop longtemps
A errer dans un monde inconnu entre désespoir et bohème
J'ai le cœur vidé d'avoir trop aimé, mort au-dedans
Mais cette carcasse qui entame sa propre putréfaction
Peut encore faire souffrir quand le couteau est remué
Quand je cède au supplice de l'auto-mutilation
Même en bouilli, mon coeur me fait souffrir à vouloir aimer
Non! Coeur, non… il est trop tard, le temps est révolu
Tu n'as plus de sang à couler, plus de larmes à verser
Et mon âme est froide comme mes nuits dépourvues
Non! Coeur… non… ce désert aride n'a pas de fin
Inutile d'espérer, intile de rêver, il faut regarder la réalité.
Et mon âme en peine va errer. Passabblement, attendant la fin.
Friday, June 15, 2007
Lost & Found...
it hurt me too much to stay
I run away so fast
that my heart couldn't find the way
Then you came along
and I was tired of my sadness
it seemed as though my life went on
but the feeling didn't last
(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)
holding on to everything that's gone
saving my life from going on
thinking of what else I could have done
it wasn't meant to be
(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)
I was lost and found
I was back on my feet
you could say I was barely walking
but the cut was deep
and I was holding on to the past
(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)
holding on to everything that's gone
saving my life from going on
thinking of what else I could have done
it wasn't meant to be
he had taken my illusions
and I needed them so badly
I grew tired of my confusion
cause he was still there
everywhere
You came along and I was lost and found (lost and found)
my life went on but I was lost and found
you came along when I was stuck in the past
there was a new life in sight
but I was blind...
holding on to everything that's gone
saving my life from going on
thinking of what else I could have done
it wasn't meant to be
(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)
there was a new life in sight
but I was blind...
Tuesday, June 05, 2007
Pour vivre heureux…
Celui qui te rejoint le nuit, dans ton "bouddhoir"
Juste celui que tout le monde ignore
Quand je réside au fond de ton cœur
Continuer ma vie sans m'en préoccuper
Mais obéir à tes faveurs
A tous tes désirs
Lorsque tu le désires
Jouer les mignons, les favoris,
Dans mon rôle de bardache
M'incliner devant toi…
M'incliner, derrière, toi…
Et puis repartir, à pas de velours
Alors que les rais de lumière poignent
Alors que je fuis dans la fraîcheur matinale
Le bonheur au fond du cœur
Et dans le secret de notre intimité
Lovés loin de ta notoriété
Sceller notre dualité
Et vivre heureux, vivant cachés!
Tuesday, May 29, 2007
Champagne...
Monday, May 28, 2007
Friday, May 18, 2007
Saturday, May 05, 2007
Les adolescents troglodytes
"Il voulait me ranger dans une case un peu plus convenable pour lui. Dans certaines lettres il essayait de me faire avouer que j'étais un homosexuel refoulé, impossible pour lui de séparé identité et sexualité. Quand il écrivait ça, tu es homo, je me voyais coucher avec une fille, ça me laissait perplexe. Je comprenais alors qu'il était complètement à côté, puisqu'il me voyait garçon couchant avec un garçon, quand j'avais déjà de si beaux seins, et le geste qui va avec."
Emmanuelle PaganoWednesday, May 02, 2007
Démons...
Quand mes yeux sont à cent lieux de tes yeux
Quand le monde tourne sans toi
Comme le mien tourne aussi, au pas.
Je savoure ces moments où le temps infini s’arrête
Quand l’atmosphère se mêle lourde et légère
Quand je suis non loin de toi, à quelques pas
Et que ton regard se pose, inexorablement sur moi
Quand la tension monte à la tête, dans le pantalon… tendu
Quand ma tension monte, que mon sourire est fendu
L’histoire ne s’arrête pas là où nous l’avons laissée
L’histoire ne s’arrêtera pas. Que l’on soit morts blessés
Et l’ivresse de nos instants, fugaces, doux, violents, orgasmiques
Le plaisir de la chair, de ta chair, de ma chair
Des mots sans importance puisqu’ils ne sont pas vrais
De l’intimité fusionnelle, perdue, retrouvée, sans arrêt.
Te laisser mariner, me laisser espérer quel jeu
Stupide et délectable. Ignorer que l’on se brûle avec le feu
Je persiste et signe, nos deux destins sont liés
Je m’en couperais les veines à en devenir fou à lier
Tuesday, May 01, 2007
Vieux Démons (3)
Mais te voir revenir à moi comme ça...
CA! J'espérais secrètement, mais ne m'y attendais pas.
Quelle délectation...
Wednesday, April 25, 2007
Vieux Démons (2)
Je me rends compte que, malgé le chemin parcouru, malgré nos rencontres, notre intimité et le reste, rien n'a changé et nous en sommes à nouveau comme durant ces années de communication sans un mot...
L'affaire reste donc à suivre.
Moi non plus, je ne sais pas taire mes vieux démons...
Tuesday, April 24, 2007
Vieux Démons (1)
Dois-je me réjouir que dans son regard, quand il me voit, se mêle fascination, envie et manque de courage?
Dois-je me réjouir de constater que, finalement, il n' appartiendra jamais à personne?
Parce que les choses se sont concrétisées trop vite.
Je devrais être à ses côtés. Si des fois je me dis que j'aimerais, d'autres, je penses, tant mieux.
Il n'a pas eu le courage.
J'en souris!
Et pourtant...
Pourquoi foncer droit dans le mur nous attire toujours plus?
Tuesday, April 17, 2007
Lancer de pétales
Thursday, April 12, 2007
B. D.
Tu disparaissais
Triste de n'avoir pu affronter le "nous" que nous étions
Que nous aurions pu être.
C'était triste.
Triste et courageux.
Un tristesse que je n'ai pas ressenti à mon réveil.
Ne restait que le choc de ta disparition.
Je t'ai tué tout simplement
Symboliquement.
Je me suis libéré de tes jougs.
Soufflé par la brise de printemps
Emporté avec le pollen et les pétales de fleurs.
Ne reste que la marque indélébile, belle, impérissable
Un véritable trésor au fond de moi.
Que je ferai revivre.
Car je revis désormais.
Friday, March 23, 2007
Flash-back...
"Comme chaque jour, après mon petit-déjeuner frugal, j'allais faire un petit tour à la piscine avant de buller dans le sauna de l'hôtel, calme et vide. Ce jour-là, des vêtements étaient accrochés à l'intérieur même du sauna. Zut... pas moyen d'être tranquille! Pourtant, personne. Etrange. Je m'installe et me remets de ma séance de natation.
La porte s'ouvre.
Il entre.
Il incarne le parfait fantasme que je pouvais avoir, ado, en regardant les séries télé américaines.
Il est beau, grand, musclé... Parfait.
Sur moi s'abat la gêne de mon corps frêle, aux muscles à peine dessinés. Les yeux baissés, je cache mon seul atout…
Pourtant, il entame la conversation.
D'abord classique, banale. Puis plus intime. Je réponds par monosyllabe. Il m'écrase par sa perfection.
Il est tellement à l'aise, nu sous sa serviette.
Et puis, échange de prénoms (je l'ai déjà oublié...). Il est photographe et vit entre Los Angeles et Chicago. Un travail assez rentable pour rester au Fous Seasons quand il est à L.A.!
Changement de lieu, le Hammam. L'ambiance est lourde. Non pas à cause de la vapeur qui vient caresser les corps. Mais parce qu'une tierce personne est là. Le silence pesant met terriblement mal à l'aise. Heureusement, l'intrus ne reste pas longtemps. Et la conversation peut reprendre. Mais bientôt le sauna revêt son activité journalière, la fréquentation nous sépare.
Et puis je n'avais pas le courage de lui tendre quelque perche que ce soit. Pas uniquement à cause de mon manque de confiance, mais aussi parce que, à l'époque, B. était dans mon cœur.
Le reste du séjour, son fantôme hantera l'hôtel.J'espère le croiser dans le moindre couloir, à chaque ouverture des portes de l'ascenseur...
Je sentirai encore son odeur à chaque fois que j'entrerai dans le sauna
Je ne le reverrai pas.
Je n'aurais même pas osé lui demander où il sortait quand il était à L.A.
Il s'est évaporé comme la buée sur un miroir.
Il s'est envolé alors que mon avion décollait.
Il est venu se déposer au fond de ma mémoire. Venu tapisser mon souvenir. Embellir d'une possibilité mes espoirs futurs."
Il est bon de se rappeler parfois, que le monde est plein de possibilités. De ressources quasi inépuisables…
Wednesday, March 07, 2007
Nothing Better?
Will someone please call a surgeon
Who can crack my ribs and repair this broken heart
That you're deserting for better company
I can't accept that it's over...
And I will block the door like a goalie tending the net
In the third quarter of a tied-game rivalry
So just say how to make it right
And i swear i'll do my best to comply
Tell me am i right to think that there could be nothing better
Than making you my pride and slowly growing old together
you're getting carried away feeling sorry for yourself
With these revisions and gaps in history
So let me help you remember.
I've made charts and graphs that should finally make it clear.
I've prepared a lecture on why i have to leave
So please back away and let me go
I can't my darling i love you so...
Tell me am i right to think that there could be nothing better
Than making you my pride and slowly growing old together
Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures
I admit that i have made mistakes and i swear
I'll never wrong you again
But you've had your chance so say goodbye
The postal Service
Monday, February 12, 2007
Egocentrisme
Mais tel un animal blessé, je m'efface
En vers et contre tous, Me terrasse
Est-ce moi qui joue les self-saboteurs?
Qui plonge inévitablement dans mes erreurs
Et me font pâtir de mes horreurs
Le sentiment d'injustice ronge,
Démange, détruit comme des mensonges
La vie est cruelle, elle l'est, le restera
Et détruit mes pas et mes émois
Mais pour sûr, l'histoire se répètera
Encore et encore et encore plein de fois
A vouloir attraper la main qui se retire, je plonge
Et la vie comme une rumeur qui se prolonge…
Thursday, February 08, 2007
Paris Hilton ou la fuck you attitude!
Monday, February 05, 2007
Electrochoc!
Qui a été tout pour moi
Qui a été tellement plus qu'un simple amour
L'homme de ma vie, un véritable mode de vie
LUI, que j'ai découvert, venait à Bruxelles sans même prendre la peine de me le dire
Oui, LUI aux côtés de qui j'ai passé des moments si splendides
Les plus beaux, les plus magiques
LUI puisse être là.
Je ne (voulais pas?) croyais pas D. quand il m'a dit qu'il lui semblait L'avoir vu.
Pourtant, comme il le précisait, il est si bon physionomiste.
Je suppose que je ne voulais pas le croire. Non, pas ça.
LUI, là, qui ne me voit pas.
Passer mon chemin? L'ignorer?
J'aurai fini par LE confronter.
LUI dire bonjour puis s'évader
(La pensée me fait encore sourire)
Je LE salue et je m'enfuie
(Non! Je ne me retournerai pas)
Je n'en reviens pas du recul que j'ai acquis.
Je ne savais plus...
Que faire?
Continuer ma vie comme je le fais si bien, si fièrement depuis des mois
(se tenir bien droit!)
Je crois que LE savoir là m'a forcé à m'amuser encore plus.
A oter les derniers doutes, à enlever le flouté de mes yeux.
En une nuit se retrouver entre le passé, le présent et un potentiel futur.
Oui, entre le bras de DA., je connaissais les chances (les risques?) qu'IL me voit.
Même si je ne L'ai pas repéré, je suis certain qu'IL m'a vu.
Quelle douce ironie du sort.
Je rencontre quelqu'un qui parvient à me séduire lors d'une nuit si catastrophique.
Quel noir dessein de mon destin.
De ma hauteur,
Je L'ai observé.
Ridicule, oui. En apparence.
Je LE savais touchant, du fond de LUI. Mais IL ne me touche plus.
Quand je pense que ce jour-là, j'avais envisagé de LE remettre dans mes contacts MSN.
Oui, bien sûr et honnêtement, j'aimerais (j'aurais aimé?) avoir de ses nouvelles.
(Je n'en aurai pas.)
Pourquoi?
Juste pour me dire que j'ai gagné.
Parce qu'au fond, si challenge il y a eu, je sais que je l'ai remporté haut la main.
Le jour où tout s'est effondré, IL savait déjà qu'IL n'avait aucune chance.
Sinon, rien n'aurait été pareil.
Et les mots de G. qui résonnent dans ma tête:
"Il ne te mérite pas"
(Se le répéter, comme une incantation)
C'est vrai. Je le pense sincèrement.
Qu'IL s'enfonce dans sa vie d'illusion, moi je frôle mes rêves, je les tisse pour leur donner de la teneur, du réel.
Ca vaut tous les ex du monde.
Ca vaut tout l'or du monde.
Saturday, February 03, 2007
Friday, February 02, 2007
Ou bien croupir dans mes propres oubliettes...
froid et capricieux, un glas givrant!
Je nage dans la vie comme une épave
L'autel de mon coeur a perdu son diamant
Et la misère me touche de plein fouet
je ne supporte plus mes nausées
Montré du doigt. Ils hurlent "bien fait!"
Qu'ai-je vraiment fait pour le mériter?
Je me jette dans le vide qui me rejette
Je fuis la vie qui me rattrape, me fouette
Je fuis les miens qui se rient de mes courbettes
Je veux disparaître dans l'infini univers
Me fondre dans les bas-fonds de mon enfer
Geler sur place et offrir ma vie à cet hiver.
Monday, January 29, 2007
Paradise
I can't remember
When I was young
I can't explain
If it was wrong
My life goes on
But
not the same
Into your eyes
My face remains
I've been so high
I've been so down
Up to the skies
Down to the ground
I was so blind
I could not see
Your paradise
Is not for me
(Autour de moi
Je ne vois pas
Qui sont des anges
Surement pas moi
Encore une fois
Je suis cassée
Encore une fois
Je n'y crois pas)
I've been so high
I've been so down
Up to the skies
Down to the ground
There is a light
Above my head
Into your eyes
My face remains
I've been so high
I've been so down
Up to the skies
Down to the ground
Into your eyes
My face remains...
surélevé...
A oberserver
(Observer)
Envie de poser le pied
Sur tous
Du pied, les écraser
(Vous écraser)
Telles des fourmies éparpillées
(Paniquées)
Ecraser une à une
Un sourire de satisfaction flanqué aux lèvres
Vous... (Toi)
La joie m'élève
Je m'élève
D'un simple coup de pied,
(Désolé)
Tous vous niquer
(Désolé)
Et savourer...
Dommage pour vous.
Vous m'en vouler?
Voilà de quoi me faire savourer
Vous me haisser
Et bien continuer.
J'en ai rien à kicker!
Youpi...!
Sorry (and more...)
Don't say forgive me...
(Forgive me...)
Don't say, you're sorry!
I can't take it anymore!
(Can't take it... Sorry...)
Can't take it... anymore...
(Sorry)
I've listened to your lies
(And all your stories...)
And I
(And I...)
And I
Can't take it... anymore!
Can't take it...
(Sorry)
Can't take it... anymore
(Sorry)
Don't say forgive me
(I've heard it all before)
Don't say you're sorry
(I've heard it all before)
And I
(And I...)
I've heard it... all before!
Don't talk...
Don't speak...
Don't talk...
(Sorry)
Don't speak...
(Sorry...)
Don't talk...
(Sorry)
Don't speak...
(Sorry...)
Don't... Speak...
Friday, January 26, 2007
N. T. P.
Véritable bombe à retardement
Qui laissera une terre envoûtée et exsangue...
Tuesday, January 23, 2007
Duende
Le heures sont si longues
Regarde ma vie!
Baigné dans les ombres
Regarde ma vie!
Destin m'ensorcèle
Regarde ma vie!
Quand le temps s'emmèle
Regarde ma vie!
Vois les anges qui s'effondrent
Dans le royaume des ombres
Quand mon coeur est si sombre...
La joie me renvoie
Regarde ma vie!
Au fond de l'émoi
Regarde ma vie!
Frontière de mes rêves
Regarde ma vie!
Où s'assèche ma sève
Regarde ma vie!
Perdu dans les songes, là où meurt ma joie...
Demain n'existera pas
Pas de Dieux, pas de loi
Juste un désert sans foi
L'hiver tue l'été
Regarde ma vie!
Et les yeux fermés
Regarde ma vie!
Doucement plonger
Regarde ma vie!
Pour l'éternité
Regarde ma vie!
Et les yeux fermés
Regarde ma vie!
Plonger pour l'éternité.
Monday, January 22, 2007
"I'm already dead anyway"
Loin de ma réalité cotonneuse et erronée
Sur un continent qui a vu naître la civilisation
Dans des contrées loin de mes propres illusions
J'entends le balles qui pleuvent sans une trève
Les gens qui meurent ne connaissent pas les rêves
Quand je m'enferme dans mon monde à moi
Eux se battent, s'affrontent et se déchirent sans loi
J'en ai versé des larmes, je pourrais en verser encore
Mes yeux sont ouverts. Je veux les garder même quand je dors
Mais je sais que le cocon va se refermer sur moi
Je n'aurais de toute façon jamais la force de tendre la main
D'autres le font à ma place, et il font ça très bien
Où se trouve mon courage à moi? Ca, je ne sais pas...
Et d'un coup…
Que croupissent les noirs démons de ma fatalité
Un hiver sombre et ténébreux qui jamais ne se termine
Devient rouge sang quand l'espoir se fait vermine
Les sentiments ne sont plus, reste un vide, béant
Plus la moindre trace d'humanité, désert long et menaçant
Les mains souffrent du froid et de la solitude
Résonne en moi les horribles vestiges de cette altitude
Et dans mes douves se noient les rois de cœur
L'as de pique se plante en plein dans ma rancoeur
Quand doucement périssent les chemins du bonheur
Et c'est un sourire flanqué sur ces lèvres gercées
Que je me vois contraint et forcé d'avancer
Sur un chemin qui ne connaît pas de vérité!
Drogué…
C'est devenu une véritable drogue. Je ne peux pas faire sans ma dose quotidienne et c'est parfois à excès!
Ils s'appellent Joshua et sortent, aujourd'hui, leur premier album: Music & Chocolate.
C'est du 100% belge, du 100% talent, du 100% potentiel pour aller loin.
Et on leur souhaite!
A écouter, à voir, à partager!
ENJOY!
Monday, January 15, 2007
La véritable bataille à mener...
Le Djihad majeur ou grand Jihad
Le Djihad majeur est l'effort que doit faire tout musulman pour lutter contre lui-même, contre son égoïsme et ses instincts, contre son orgueil et sa passion de dominer les autres. Le grand Jihad est la lutte intérieure que le musulman mène contre l'envie et la jalousie, le mensonge, l'adoration quelle qu'elle soit, qui l'écartent du chemin de Dieu.
Friday, January 12, 2007
Et Paf!
Ca ressemble presqu'à un conte de fées.
Oui… S'il n'était pas marié…
Je me dis que ça sonne plus comme un règlement de conte…
Tuesday, January 09, 2007
Envies
Des envies d'anonymat, de perte de soi, de renouveau
Des envies de se perdre dans l'immensité d'une ville qui partage le meilleur comme le pire.
Des envies de soleil, de châleur, de palmiers, d'exotisme occidental.
Des envies d'une nouvelle identité de devenir quelqu'un d'autre, de devenir quelqu'un.
De revêtir une seconde peau, idéalement, celle de Nikki T. Price.
Celle de celui qui sommeille en moi depuis si longtemps... depuis trop longtemps.
Il est temps.
Des envies de ne plus être moi pour mieux me retrouver, pour mieux me protéger, pour mieux m'élever, pour mieux me venger.
Des envies que je dois réaliser.
Des envies que je vais réaliser.
Des envies que je suis en train de réaliser.
Faîtes un vœux...
"Chuuuuuuuut..."
Et si?...
Porte entrouverte...
Mouvements perpétuels, va et vient...
Des visages, des mémoires...
Des souffles qui s'alternent
Quelques râles
Et des effluves de produits…
Des corps en sueur,
Des parfums bruts
Une course?
Une recherche?
Une petite mort?
Une renaissance?
Encore et encore.
Le plaisir garde-t-il un sens?
Monday, January 01, 2007
Sunday, December 31, 2006
Wednesday, December 27, 2006
Et après?
Une année impaire.
Je n'aime pas les nombres impairs. Pourtant, quand je regarde derrière moi, je réalise que les années impaires ont toutes été synonymes de changement.
Quand je me retourne sur 2006, je perçois les mauvais moments, délicatement mélangés aux savoureux.
Je me revois avec B. Je me revois sans. Je me revois détruit, serein, apeuré, interdit.
Je me revois projeter l'eau de mon bain, d'un coup de colère, de tristesse, de déception, de rencontre avec la réalité. Le face-à-face!
Je me revois. 9 mois écoulés qui ne m'ont pas aidé à cicatriser. Non pas que ma plaie soit encore béante, mais elle est si fragile.
Maintenant, je dois arrêter de me retourner. Oublier que celui qui me sied le mieux, a le cœur qui bat, quelque part, au-delà de la mer du Nord. Oublier l'intensité de nos bonheurs, de nos orgasmes, de nos retrouvailles, de nos silences, de nos regards. Oublier que l'on se correspondait aussi bien que les pièces d'un puzzle. Ne pas me dire que la suite en gardera un goût amer. Même si j'essaie de positiver, de ne pas y penser, de me dire que ça passera.
"Il existe tu sais" me répète-t-on. Bien sûr qu'il existe! Je l'ai connu.
Alors après. Après, ne vivre que l'expression de ses désirs, en se disant que si les papillons réapparaîtront dans l'estomac. Certes c'est arrivé. Bonjour le résultat.
Suis-je blasé? Horreur, tout mais pas ça. Et pourtant, parfois je me dis que ça menace.
Aigri? Non, ça non. La vie est belle. La vie n'est rien sans les souffrances. Le bonheur n'existe qu'en contre-poids du malheur.
Finalement, je n'ai qu'à continuer comme je l'ai toujours fait. Profiter de ma vie, écouter et répondre à mes envies. Savourer mes chances, décortiquer mes erreurs et mes échecs. Non pas pour pleurer sur mon sort, juste pour l'améliorer.
Finalement, c'est assez simple… Je dois oublier que j'ai aimé.
Tuesday, December 26, 2006
Friday, December 22, 2006
Je voudrais tant…
Toi que je vais quitter ce soir
Que l'on peut avoir de la peine
Et sembler ne pas en avoir
Le coeur blessé encore sourire
Indifférent apparemment
Aux derniers mots, qu'il faut écrire
Lorsque finit mal un roman
L'âme éperdue, sauver la face
Chanter des larmes plein les yeux
Et dans un univers de glace
Donner l'impression d'être heureux
Je voudrais tant que tu comprennes
Puisque notre amour va finir
Que malgré tout, vois-tu je t'aime
Et que j'ai mal à en mourir
Je voudrais tant que tu comprennes
Malgré tout ce qui s'est passé
Que je t'aimais plus que moi-même
Et que je ne peux t'oublier
Et que je ne pourrai t'oublier
Monday, December 18, 2006
"X"
Avec les doutes et les peurs,
Mais surtout les nombreuses possibilités,
Avec les nouvelles chances, les nouveaux espoirs.
Poussez les portes trop vite,
Dépasser ses limites, avoir envie.
Envie de…
Puis envie de…
Et envie de…
"X", la donne de l'inconnu.
"X", la donne de l'espérance,
"X" qui ne cache pas sa connotation intime… du partage.
"X" tant que rien n'est établie.
Rien, ni même le contact.
"X" juste quand les regards, incroyablement profonds, se croisent, encore et encore, en une danse de timidité, d'envie, de peur.
"X" quand on y pense, encore et encore.
Ou bien "X" un juste milieu entre le besoin et l'envie.
"X" le leurre?
"X" l'inconnu de mon équation?
"X" le mystère du futur?
"X"...
Tuesday, December 12, 2006
Nico au pays des Loosers
Parfois, j'aimerai bien me réveiller; comme Alice!
Ou peut-être devrais-je laisser la "Reine de Coeurs" me trancher la gorge!
Can't help it...
On my mind all the time.
No sadness, no anger.
No feelings?
Just a constant thought.
Monday, December 11, 2006
Et l'histoire continue...
Heureusement, j'ouvre d'autres chapitres.
Mais la trame de fond semble rester la même!
Tuesday, December 05, 2006
Saturday, November 25, 2006
Thursday, November 23, 2006
Only this moment…
D'un coup, la force, l'incongruité, le plaisir, le défi... Tout ce qui est passé dans ce reflet rejoint l'éternelle mémoire.
Je reste assis, essayant de recoller les petits morceaux de souvenirs qui me reviennent.
Jusqu'à la prochaine rencontre.
N'est-ce pas épuisant?...
Wednesday, November 22, 2006
On l'appelle "Emmanuelle"
Non seulement elle écrit bien, mais c'est une femme intelligente et terriblement touchante.
Une vraie découverte.
Une rencontre.
Image(s)
Il a fait semblant de ne pas en avoir.
Je sais que c'est faux, il me l'a prouvé quelques discussions plus tard.
Mais quelle surprise cet autre jour.
J'allais tranquillement aux toilettes quand ce garçon que je "connais" m'accoste comme jamais il ne l'a fait avant.
Il me tient. Me demande des nouvelles, me donne des siennes.
S'interroge sur ma vie affective (zut! je le voyais venir mais n'ai pas réussi à noyer le poisson...)
Il m'explique son bonheur, depuis un an et demi.
Je souris.
Je suis - sincèrement - content pour lui.
Mais notre discussion n'avait, jamais avant cela, dépassé le stade du "Tu vas bien?"
Son visage est proche du mien, ses gestes, parfois, contrastent avec ce qu'il me raconte.
J'essaie de m'échapper, une fois, deux fois…
Il continue.
Ma tête perd le flot de ces pensées qui s'échappent entre nous.
Je ne sais plus comment nous en sommes arrivés là.
Sûrement à l'évocation de l'éternel B.
J'évoque mon manque de confiance.
Il est surpris. "Encore?"
"Il est vrai que quand je t'ai connu avec 'X', tu paraissais tout prendre pour une attaque, constamment sur la défensive. Toujours en retrait."
J'approuve. L'animal blessé trahis ses douleurs dans ses actes.
"Mais parfois - il accompagne ses paroles d'un geste de grandeur, il ouvre ses bras… -, parfois, tu prenais tellement de place, tu étais là, tu t'imposais, tu en jetais tellement. Tu prenais toute la place, pas de façon négative."
Je reste bouche bée. Je suis surpris par son engouement, de ses gestes, de ses mots.
Est-ce bine de moi qu'il parle quand il évoque cette personne?
J'ai du mal à le croire.
C'est un leurre.
L'animal blessé sait aussi jouer la comédie.
Trop mal à l'aise, je m'arrache. Tout de même flatté par ce compliment(?)
Et perturbé de savoir que des personnes pouvaient me voir comme ça.
Il y a un tel décalage entre l'image que l'on souhaite donner, celle que l'on offre en réalité et celle qui est perçue par les autres…
D.
...
Peut-être est-il temps.
Je savais que cela viendrait.
Et même si celui-ci noie le poisson aujourd'hui,
Je crois qu'il est temps de mettre un terme.
Encore faut-il en avoir le courage.
Pourquoi ne s'attache-t-on qu'à ceux qui nous font courir?
Pourquoi un tendre, adorable et bel homme comme lui me laisse-t-il si indifférent malgré toutes ses délicates intentions; malgré sa profession qui en ferait fantasmer plus d'un; malgré son affection pour moi?
Peut-être parce qu'à mon tour, je le fais courir.
Mais pourquoi courir et toujours prendre des directions différentes.
Je mourrais fatigué d'avoir couru dans un seul et même sens, le sien.
Au moins, je mourrais fidèle à moi-même.
Wednesday, November 15, 2006
Au détour du chemin...
Il fait chaud dans la rame de métro. Je ne veux pas enlever mon blouson, il y a si peu de stations à passer, ça n'en vaut pas la peine.
Je descendrai quelques arrêts avant le mien, je marcherai et me fondrai dans la ville déjà enrobée de ténèbres; adoucie par les nombreuses lumières, les néons.
Le métro ralenti. Les portes s'ouvrent. Je suis arrêté dans ma lecture. Il entre. Je sens sa présence, il dégage une aura. L'air change. Je lève la tête.
Il n'est pas grand, mais je capte tout de suite ses yeux sombres, son regard ténébreux, si profond. Je suis hypnotisé. J'abandonne mon livre. Sylvia Kristel me passionne, elle devient une star au détour de 1974... Sylvia Kristel peut attendre.
Il croise mon regard. Le temps s'arrête. L'intensité s'installe. Il me scrute, il donne l'impression de lire en moi tant son regard est profond. La tension est trop forte, je baisse les yeux, et fais mine de me replonger dans mon livre. Mais les courbes, les angles obtus et les points formés par les lettres dansent devant mes yeux sans pour autant pénétrer mon esprit...
Discrètement, sans bouger la tête, je lève les yeux. Il est de profil. Je l'examine. Il a les cheveux parfaitement coiffés malgré cette fin de journée. Ses sourcils, très bas, lui donnent un air grave, sérieux. Ce qui le rend encore plus attirant. Il a le regard fixe, un rien perdu. Il a un beau nez, aquilin; ses lèvres sont masculines, ni trop fines, ni trop épaisses. Je descends, son coup est élégant. Ses vêtements sont propres, droits, classieux. Il porte le costume à merveille et son duffle-coat marine adoucit la droiture de sa tenue. Il est petit; ce qui n'affecte pas son charme. Au contraire. Les hommes grands ont souvent une assurance naturelle que leur confère leur taille démesurée. Il n'a pas besoin d'être grand pour prouver son assurance. Elle se dégage de lui, naturellement, simplement.
Je cherche sa main du regard. Je veux attraper son annulaire, savoir ce que cachait ce regard posé sur moi. Je ne le vois pas, il est dissimulé par l'écharpe qu'il tient, qu'il a élégamment enlevé de son cou.
Je ne pourrais pas chercher ce doigt longtemps. Il se tourne, happe mon regard. Un fois de plus, les autres s'évanouissent. Une bulle se forme, mais ma gêne prend le dessus. Je prétends retourner à Sylvia. Je bénis mon visage de ne pas rougir dans les situations d'embarras. Même si je sens bien que le sang afflux dans tous mes vaisseaux faciaux.
Son regard me déshabille. Il me scrute. Et lui, que voit-il?
Je me sens tellement étranger à moi-même. Je voudrais disparaître, fondre dans la masse. Mais je suis exposé, sans barrière, sans aucune sécurité. Rien ne nous sépare, tout semble nous attirer.
Je relève les yeux. A lui de les baisser. Embarrassé à mon tour, je me replonge dans mon livre mais mes yeux sont arrêtés sur sa main. Sur son annulaire désormais dénudé brille la bague tant redoutée.
Elle est là.
Elle ne ressemble pas à une alliance. Je préfère croire que c'en est une.
Il a l'air noble. Je crois apercevoir un trait de tristesse au coin de son oeil. Ca ne le rend que plus attendrissant.
Les stations défilent. Je ne lirai pas une ligne de mon livre. Trop gêné, l'esprit ailleurs, qui déambule. Les regards se feront fuyants. Plus qu'une station et c'est la mienne.
Peut-être devrais-je rester.
Peut-être...
Et pour quoi faire? Prolonger le rêve de deux arrêts de métro, pour, de toutes façons, remonter à la surface, retrouver ma réalité. Non, je dois descendre ici. Rien ne fera basculer mon équilibre. Rien ne peut se passer. Alors je range mon livre. Du coin de l'oeil, il le voit, se rend compte.
Arrive la station. Je dois passer devant lui pour sortir. Je baisse les yeux. Comme si j'avais fait une bêtise. Je crois même me voûter alors que je fais, ces dernier temps, tous les efforts du monde pour garder ma droiture.
M'a-t-il suivi des yeux?
Je ne le saurai jamais. Je descends. Je relève la tête, les épaules et je m'engouffre dans ce couloir qui me ramène à la réalité. Pourtant mon esprit est ailleurs. Les mots afflux, glissent. J'essaie de les retenir. Ils sont là, en file, attendent leur tour. Je ne veux pas les laisser passer. Pas tant que je ne peux les coucher sur mon écran. Les taper sur ce clavier. Je risque de les perdre.
Je compose alors que je marche, rapidement, au travers de la nuit; au travers de la ville.
Les mots s'emmêlent, l'histoire se romance. Je ne différencie plus le rêve de la réalité.
Quels regards ont existé, lequel suis-je en train de fantasmer?
Mes pas se pressent, les mots coulent, comme je me saigne. Je les perds.
Je n'en garde qu'une histoire brute. Sorte de mélange entre mon imagination et mon souvenir.
J'atteins ma rue. Cette rue que j'aime depuis bien avant d'y habiter.
Je presse le pas, prépare mes clés. J'aperçois le restaurant, et ma porte juste à côté.
Je vois quelqu'un s'y engouffrer. Je me presse pour retenir la porte.
Raté.
Je mets la clé, pénètre à mon tour dans le couloir illuminé. Je lève les yeux et aperçois la silhouette qui venait de se faufiler.
Elle me semble familière...
C'est Lui.
Il n'est pas descendu deux stations avant.
Nous avons atteint notre immeuble en même temps.
Le même immeuble. Il prendra l'ascenseur, je grimperais les escaliers. Assez lentement pour découvrir à quel étage il habite.
Drôle de coïncidence.
Drôle de retour à la réalité.
Situation singulière et cocasse.
Monday, November 13, 2006
I see things differently
The fog has vanished away
I realise i never saw the tears that floaded your eyes when you left me
I never had mine open enough to feel your heart torn between your love and your obligations
I was hurt
But as i see this stranger holding his tears,
I remember mine, which floaded my night,
Soaked my bed
When my computer was my ennemy,
My phone dreadly silent,
My life totally empty.
I know your strength, because you hid your weaknesses.
Automn is coming, dragging its dead leaves, its rain and the sweet memories of you, of us.
Silently you just live in my memorie...
Silently you're still beside me...
Silently... you're what's left of me; of before; of who i was.
And i still love you for that. I still love you for who you were, for whom you love, for who i was, for whom i loved.
And silently, life goes on, time is the friend.
My love needs to fade away.
But you remain the one. You're still the one.
So is life.
So is love.
yes, it is.
Monday, October 30, 2006
Pretty shocking...
"This is a GAY night!"
Whaou... what can i say?
I'm not even sure what is more confusing between the fact that i used to go there every weekend - the bouncer being still the same -, or the fact that the guy actually thought, even for a second, that i could have been straight!
apparently, put a Donna Karan leather jacket to anyone and that's the trick!
PRETTY AMAZING!
Wednesday, October 25, 2006
Test de pûreté....
Votre score est de 211 point(s).
Statistiques:
Pourcentage de réponses positives: 60 %
Réponses positives sur les boissons: 38 %
Réponses positives sur les drogues: 25 %
Réponses positives sur le sexe: 74 %
Vous vivez votre vie à fond les bananes sans peur du lendemain !
(Un score qui vous donne le droit de clamer votre impureté à l'assistance :P)
Ben bravo...
Saturday, October 21, 2006
B.
Just so that you could hear...
"You spent so much time to make other people happy, you never thought about yourself."
Yes... Even just for that...
Virera, virera pas...
Comme d'habitude, une excellente soirée.
Depuis qu'il est élu conseillé communal; son agenda est encore plus rempli que le mien!
Mais par un heureux hasard nous nous retrouvons un vendredi soir avec peu de projet.
Assez peu pour postposer.
Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas revu. Pas depuis mon départ en vacances, pas depuis qu'il avait posé sa main sur mon genoux...
Rien que lui parler au téléphone me fait sourire. Alors le voir arriver me fait réellement plaisir. certes, au départ, les sourires sont génés; les regards à la fois insistants et fuyants. les silences insurmontables...
Après quelques verres de vin, les langues se délient.
Virera, virera pas. Telle pourrait être la question.
Mais déjà, je m'en fous.
Nos rencontres sont toujours des moments formidables. les conversations dévient toujours, je trouve cela incroyable.
Et puis il se confie à moi.
Comme quand il me dit que...
Ah zut, faire attention, le blog a des oreilles. (!)
Les au-revoirs sont toujours difficile.
Un cinéma bientôt.
Dans quinze jours.
Les choses auront évoluées de mon côtés. Peut-être du sien aussi.
On s'en fout. Il est un ami. Un très bon ami.
De qualité et peu (oui, très peu) peuvent le prétendre à ce point.
C'est étrange, troublant... et d'autant plus délectable!
Mystérieuses relations humaines...
Friday, October 20, 2006
Plaisir masochiste...
De s'arracher la peau pour le laisser sortir.
Car il n'y restera pas indéfiniment…
Douce saveur de l'amertume.
Tuesday, October 17, 2006
Sunday, October 15, 2006
Tuesday, October 10, 2006
Monday, October 09, 2006
Enlève tes bottes vintage, c'est trop frais!
Selon une revue de mode: "Est vintage, tout vêtement ou accessoire d'au moins 20 ans d'âge, griffé si possible, rare et en parfait état"
En gros, il s'agit d'une sorte de revival qui s'étend des années 40 à 80 et qui permet aux grands couturiers de nous ressortir la même soupe qu'avant. Puisque le vintage (au contraire du revival) est griffé.
Cela ne m'inspire qu'une chose:
Une citation fantastique de Patsy dans Ab Fab: "Get your clothes back from the dry cleaning and it's a revival!"
C'est à peu près ça!
Friday, October 06, 2006
I just stopped, it was about time.
Because you do seem to still think about it from time to time.
I know nobody holds the key of your glass prison. Not even you.
And from there, you did love.
And you pretend not to anymore.
And i pretend not to notice that a piece of me is still deep in your heart, like a little dust.
Paths parted.
Unfortunately.
That's the way it is.
That's the way life goes.
You will remain the best. The incarnated dream. The one.
I'm lucky enough i met you. For some people it never happens.
And there will always be a space for the little dust in my heart. For this one. for you.
Thursday, October 05, 2006
Lazy days...
Pour un soleil un peu pâle qui se lève sur mon âme
Les yeux embrumés, le sourire aux lèvres
L’envie de m’enlacer à nouveau dans tes draps
L’idée d’une évasion, secrète et invisible
Et invincible
Rester encore un peu juste un instant
Une éternité
Fermer les yeux pour mieux rêver éveillés
Et puis le flot de ma vie qui coule sans ombrage
Ce flot qui, jadis, me servait de breuvage
Purifié par des terres neuves et vierges
Assagi, assagi…
… ou presque.
Wednesday, October 04, 2006
Tuesday, October 03, 2006
Monday, October 02, 2006
Ce que je confie...
Un avis que visiblement certaines personnes ne partagent pas. Du moins, une en particulier, qui, nul doute, se reconnaîtra.
Quand je parle de personnes ici, que j'utilise des initiales afin de préserver leur intimité, les "protéger" elles, non moi, je ne vois pas l'intérêt d'aller les trouver pour évoquer le fait que... "tiens, tu es en contact avec..."
Où est le problème?
Pas assez de détails sur ce blog?
Ou quelque chose d'encore plus pernicieux?
Pourtant, je croyais que cette personne me connaissait et me respectait assez pour savoir que je n'aime pas voir mon intimité violée. Combien je me fais violence pour me dévoiler dans ce cyber-espace.
Ne pas me censurer en sachant que certaines personnes (oui, toi aussi, entre autres), lisent ces lignes, au fur et à mesure. Toujours la peur de blesser.
Une pudeur qui, finalement, finit par me rattraper.
Et oui, fuir et me cacher dans un nouveau coin de la toile m'a traversé l'esprit.
Je n'en viendrai pas à là.
Du moins pour le moment.
Mais si ça arrive, je doute que tu puisses me retrouver aussi facilement...
En espérant que le message soit clair,
désolé pour celles et ceux qui ne sont pas concernés.
A bon entendeur...
Sunday, October 01, 2006
"Sitting on the moon"
I'm sitting on the moon
Watching the planet blue... hello!
Looking all around
Rotating without a sound, where are you?
Where are you?
I'm sitting on the moon
Where are you?
I am missing you...
I came from very far
A little unknown star... hello!
I don't know what to do
Its is so cold and blue without you...
Where are you?
I'm sitting on the moon
Where are you?
I am missing you...
Enigma
Enfin de quoi se changer les idées...
- Ce soir, Nuit blanche à Bruxelles
- Satisfaction de voir T. revenir vers moi, plein d'envies, de bons sentiments, et de compliments (ça tombe bien, j'en ai besoin en ce moment...
- D. toujours aussi présent, prévenant et en accord avec mon deal...
- Après le petit incident avec V., mes "menaces ont porté leurs fruits", pas de harcèlement, mais un délicat message sous-jacent qui dit "j'ai encore envie de te voir..." Tout aussi flatteur.
Et puis...
Et puis le retour à ses bonnes vieilles habitudes de Fontainas avant de sortir. Bien sûr, avec l'espoir d'y voir BJ... (un monomaniaque?... où ça?), ou plutôt l'espoir que lui me voit. La patience a payé. Il est là, je dois aller au bar pour qu'il me voie. Et au-delà de tout espoir, il se lève aussitôt pour venir me dire bonjour :D
LA soirée avance, il pleut, nous allons à l'intérieur du bar, vue sur lui, vue sur moi. Des coups d'oeil, des regards, pas de quoi être mon obsession de la soirée, je m'amuse tellement. Et puis deux types se joignent à son groupe, dont l'un doit bien être son type. Oui, une pointe de pseudo jalousie.
Il est temps de partir.
Je quitte le bar, sans lui accorder un regard.
Ni une ni deux, il se lève.
"Nicolas, quand est-ce qu'on se voit?"
:/
Je brille de froideur.
"Tu fais quoi ce soir", finit-il par me demander sans innocence.
Puis il propose demain, dimanche. Je dois réfléchir, et lui d'insister "dis oui, dis oui..."
Malgré mes propositions de m'appeler, il semble impatient, ou veut peut-être une assurance.
RESULTAT. Le RDV est fixé.
Pour demain.
Je crois que la rencontre va réellement se faire.
Mais je ne dois pas céder. Je veux comprendre, je veux savoir.
Et je ne veux surtout pas tomber dans les oubliettes dès lundi.
Je joue gros. Heureusement que j'ai des filets pour me rattraper si je chute.
Vivement demain...
Thursday, September 28, 2006
Et pendant ce temps-là...
Nico dit:
So, here's an odd question for you too...
Nico dit:
Have you heard of me around?
t. dit :
yes... remember O.'s boyfriend?
(Comprendre, Bj...)
Nico dit :
Yes.
Je fais hyper bien l'innoncent... non?
t. dit :
he told me that he met you before...
Nico dit :
But... what did he say exactly?
t. dit :
that you tried to seduce him in fontainas or smthg like that. or that you gave him your number. still think it's strange that he didn't contact you because (1) he is a sex animal and (2) i think you are his type
The bastard!
Nico dit :
So he said. Ok. thanks for the info.
GRRRRRRRRRRRRRRRRRR.............
Au moins, cela confirme qu'il y a qqch d'étrange derrière tout ça...
Wish you were...
Comes creeping
In the morning
And I wish I was still sleeping
And the daytime
Is a long time
Dull and dreary
Full of dreams of wishful thinking
But the night-time
Is the one time
When I miss you
And I wish that you were with me
And I sit and
I think of you
And I'm lost in
Forgotten old memories of you
Wish you were here with me
I wish you were here with me
Wish you were here with me
I wish you were here with me
Night-time
Comes seeping
Through my window
And I know I should be sleeping
But I'm thinking
Of the last time
Can you hear me
Do you know my hopes are sinking
'Cos the night-time
Is the one time
When I miss you
And I wish that you were with me
And I sit and
I think of you
And I'm lost in
Forgotten old memories of you
Wish you were here with me
I wish you were here with me
Wish you were here with me
I wish you were here with me
And I'm always thinking of you
And I'm always thinking of you
And I'm always dreaming of you
Always I'm weeping in dreams
Wishing and hoping
Wish you were here with me
I wish you were here with me
Wish you were here with me
I wish you were here with me
Bananarama