Friday, March 31, 2006

"A la recherche du temps perdu..."

Quand vais-je finir "£ola, non"?

Quand trouverais-je le temps de m'épancher sur mes 2 projets naissants, "Les excès de Thomas" et "Ma plus belle histoire d'amour".

J'espère que la solitude ambiante nourrira ma retraite pour mieux réapparaître dans la lumière.

Et comme le dit la maxime, tant qu'il y a de la vie...
Bitterness vénéneuse...
Voici les plus beaux et les pires jours de ma vie...

Evergreen

Running with my rain face on
Today I woke up feeling sad...
I know that you said,
That one day I would be glad

Hold the Choirs of Winter,
The Birds are calling to me and
All the leaves I came to love are falling

Ribbons on evergreen, owls that pull them apart
I can hear you singing my funny valentine
Oh you know that breaks my heart...

Hold the choirs of winter,
The Birds are calling to me and
All the leaves I came to love
Oh you know that breaks my heart...

Running with my rain face on
No Idea of what to say
No idea of who to do
In this fear that never goes
Waiting for all my dreams

Oh you know it breaks my heart...

Hold the Choirs of Winter,
The Birds are calling to me and
All the leaves I came to love
Oh you know it breaks my heart...

Faithless

Tuesday, March 28, 2006

Le couteau lancinant de ma douleur
Pénètre sinueusement mon coeur,
Qui pleure, qui pleure...

Monday, March 27, 2006

Je découvre enfin l'homme derrière le prince.
N'est-ce pas, finalement, plus charmant?
L'infidélité est un accident de parcourt comparable à un accident de voiture.

Plutôt que de regarder à ses blessures personnelles, il s'agit de se poser les bonnes questions? La cause venait-elle de la voiture ou bien du conducteur? Est-il probable qu'un nouvel accident puisse arriver, et si c'est le cas, que changer? La voiture, ou le conducteur?

Saturday, March 25, 2006

Obsession

Et le regard tombe...
Inexorablement
Sur les formes immondes
Aux caractères changeant

Un autre, là encore
Juste se croiser
Au milieu de ce décor
Juste... se renifler!

Têtes baissées, pas hagards,
Bruit de feuille froissée
Et un obséssion, par hasard
Dans le coeur est tombée

Réaction imprévue, attendue
Douce sensation,
Les sens s'agitent, batons rompus
Magie de cette invitation...

Ma mains épouse ces formes
Changeantes, changeantes
Pupilles dilattées... énorme...
Et la chose ennivrante

Plaisir du regard insidieux
Des rondeurs vénérées
Et le geste si gracieux
D'un moment inavoué

Et l'instant d'après disparu...
L'objet de mon obsession
Que le suivant, accouru...
A Baissé son pantalon.

Thursday, March 23, 2006

"I need you to believe in something...
I need you to believe!"

The Chemical Brothers

Monday, March 20, 2006

British whim...

Les caprices du destin...
Et cette rencontre...
Aurait-elle dû avoir eu lieu, ou l'univers mystérieux de mon destin s'est-il laissé à ses caprices? Le moment, l'instant, X... juste 2 regards qui se croisent. Et l'irrésistible attraction. Ces yeux perçants que je revois, à chaque fois.
A chaque fois...
L'amour, celui dont j'ai rêvé, celui auquel j'ai cru, celui qui est là.

Mes caprices à moi...
Ceux de mes doutes idiots, de mes impatiences que je contrôle tellement bien depuis lui, mais qui me rongent encore de l'intérieur. Parce qu'il ne parle pas. C'est ce que j'aime en lui, c'est ce qui me détruit parfois.
Après.
Il parle après. Quand mes nerfs n'ont fait qu'un tour, que mon imagination s'est emballée, quand j'ai l'impression qu'il s'éloigne quand il ne fait que me protéger.

Ses caprices à lui...
Qui semble ne pas en avoir. Juste de m'aimer, sans toujours savoir s'y prendre.

Nos caprices à nous...

Chut...
La solitude résonne en moi, provoquant l'écho de ma détresse...

Saturday, March 18, 2006

Vénéneux

Je me déteste quand je suis comme cela...
Quand je suis vénéneux...
Ou encore vénimeux...
Discret comme un champignon
Dangereux comme une araignée
Dont la toile, habilement tissée
Est un piège pour tout être
Discret, quasi invisible...
Tellement dangereux

Je me déteste quand je suis comme cela...
Froid, cube de glace
Le regard de Méduse
Les dents du vampires
Les lèvres rouge de sang
Le mien... pour l'instant.

Je me déteste quand je suis comme cela...
A jouer le gueux condescendant
Mes sourcils pourtant affiner
Noircissent mon visage
Mon air renfrogné
Le sourire narcois dessiné
Sur mes lèvres à peine entre ouvertes.

Je me déteste quand je suis comme cela...
Comme je déteste la terre entière
Derrière mon faux sourire,
Mes dents un rien blanchies
Plisser les yeux, pour mieux faire croire
Pour déceler l'autre, ses défauts

Je me déteste quand je suis comme celà
Invincible, intouchable
Inabordable, imperméable
Impénétrable...
Ne pas croiser mon regard
Ne pas le croiser

Je me déteste quand je suis comme cela...
Véritable bombonnière à poison
Suis-je nocif à moi-même
Je le suis aux autres
Je le sais, j'en souris
J'aime ça...

Comme j'aime quand je suis comme cela
Plein de pouvoir et d'orgueil
Au regard perçant, cinglant
Aucune proie ne m'effraie... Aucune!
Et de bout de mes frèles doigts
Tisser le destin tel les moires
Sans me rendre compte...
Que je ne tisse que le mien!

Thursday, March 16, 2006

Silence...

Chut...
Du fond de ma cellule,
C'est le silence...
Peur que les mélodies m'emportent...

Bourdon
Mes oreilles cumulent
C'est le silence...
Amours mélodieuses et fortes...

Doute?
Car pas de recul?
Dans ce silence...
Que cette nuit m'apporte

Envie
Mon esprit fabule?
C'est le silence...
Que des bruits colportent...

Désir
plaisir qui pullule
Oublie le silence...
Et frappe à ma porte!

Pornographie

Envie d'avoir un rapport sexuel avec le travail.

Wednesday, March 15, 2006

L'amour n'est rien...

Obsédé du pire
Et pas très prolixe
Mes moindres soupirs
Se métaphysiquent...
J'ai dans mon ciel
Des tonnes de célestes
M'accroche aux ailes...
Et tombe l'ange Gabriel!

Obsédé du pire
Un peu trop physique...
L'envie de frémir
Est pharaonique !
... Fi de l'ascèse !
Ma vie s'enténèbre
Moi sans la langue
Sans sexe je m'exsangue!

L'amour, c'est rien...
Quand c'est politiquement correct
On s'aime bien
On n'sait même pas quand on se blesse
L'amour c'est rien...
Quand tout est sexuellement correct
On s'ennuie bien
On crie avant pour qu' ça s'arrête
La vie n'est rien...
Quand elle est tiède
Elle se consume et vous bascule
Le sang en cendres de cigarette
La vie est bien...
Elle est de miel!
Quand elle s'acide de dynamite
Qui m'aime me suive!

Obsédé du pire
Et pas très prolixe
Mes moindres soupirs
Se métaphysiquent...
J'ai dans la tête
Des tonnes de pirouettes
Le saut de l'ange
N'a pour moi rien d'étrange

Obsédé du pire
Et pas très prolixe
Partager mes rires
Plutôt plutoniques
J'ai dans ma sphère
Un effet de serre
Mon sang bouillonne
Je bous de tout, en somme

L'amour, c'est rien...
Quand c'est politiquement correct
On s'aime bien
On n'sait même pas quand on se blesse
L'amour c'est rien...
Quand tout est sexuellement correct
On s'ennuie bien
On crie avant pour qu' ça s'arrête
La vie n'est rien...
Quand elle est tiède
Elle se consume et vous bascule
Le sang en cendres de cigarette
La vie est bien...
Elle est de miel!
Quand elle s'acide de dynamite
Qui m'aime me suive!

Mylène Farmer

Sunday, March 12, 2006

Des ères de vacances...

"Détends-toi. Il fait beau, cette maison est sublime... Charly est homo. Où est le problème?"

Crustacés et coquillages

Friday, March 10, 2006

"Mes rêves ne connaissent pas de frontières"
Les Créanciers

Wednesday, March 08, 2006

"Les secrets, c'est permis dans un couple."
Confidences trop intime
"Il faut aimer l'homme, pas le prince charmant."
Lio

Monday, March 06, 2006

Ma plume accumule son venin qu'elle voudrait déverser.

Vivement le temps des vendanges...

Tout est là

Qu'elle est belle cette image...
De 2 hommes appuyés nonchalants
Contre un vieux camion.

La beauté se lit sur les visages
Un apparence de princes charmants
un jour d'été sans confession

Ils ne se touchent pas
Pas de regards qui se croisent
Et le soleil de cet été

Et pourtant tout est là...
Loin de toute noise
Une image qui vaut l'éternité

Ouverte aux initiés...

Car pour ceux qui les connaissent
C'est une fusion invisible
Mais tellement forte et belle

Un doux amour qui se paresse
Un halo irrésistible
Une histoire déjà éternelle

Universelle...

Comme ils sont beaux
Comme ils sont heureux
Comme ils restent secrets

Comme des héros,
Chevaliers valereux,
Unis dans le secret

Ils ressemblent à peine
A 2 amis. A peine...
Mais tout est beau pour qui sait

Et si les sages séparations peinent
Elles en valent toujours la peine
Car tout est beau pour qui sait

Ils touchent très peu à leur malheur
Qui est toujours mieux de côté
Ils préfèrent mille fois la simplicité

Et un jour, à l'écoute de nôtre coeur
Nous vivrons, un matin embrûmé,
Notre éternel retour vers la montagne brîsée

Sunday, March 05, 2006

S'ils jouent les "noyaux durs"...

Je jouerais alors la pourriture!