Friday, August 25, 2006

Et encore...

Un rendez-vous manqué.

Ca devient notre spécialité!

Tuesday, August 22, 2006

"Falling in love isn’t part of a plan
Forces within me, mix reason with lust
But I try to accept it and not make it worse
Cause I know I might lose you by taking the chance
But love without pain isn’t really romance"

But love without pain isn't really romance.

A beautiful day...

Living on my guard (guarded)
Wind is on my neck (fateless)
Sun is on my face (have courage)
Beautiful day without you (without you)

Like rays of gold (I honestly can)
Now can I (forget the pain)

Feeling spoiled
In this world
Fighting beliefs
Now can I

I
Know
My
Tragedy

Notion took about
Still I wonder how
Morning after rain
Clear away the pain

Then after all
When all are gone
It's plain to see
Just who we are
In the light of hate
The way we talk
Enacting shame
Causing harm
Defend yourself
And keep your guard
We realize
We belong apart
'Cause we entice
We've got ways of knowing

Living on my guard (guarded)
Wind is on my neck (fateless)
Sun is on my face (have courage)
Beautiful day without you (without you)

Like rays of gold (I honestly can)
Now can I (forget the pain)

Feeling spoiled in this world
Fighting beliefs
Now can I

When I'm alone
And all are gone
The painted leaves
Onto the sun
In the light of god
I see myself
Improving things
Oh every day
The open sky
The breathing stars
When .... Come
In a world apart
'Cause in these times
There's no way of knowing

Living on my guard (guarded)
Wind is on my neck (fateless)
Sun is on my face (have courage)
Beautiful day without you (without you)

Like rays of gold (I honestly can)
Now can I (forget the pain)


And still I'm spoiled
Feeling refined
This beautiful day
Makes me sigh...

Röyksopp

Monday, August 21, 2006

SMS d'anthologie:

Je me dirige vers la Grand place

...

ok for thursday :) 21h?

Rendez-vous est pris!

Saturday, August 19, 2006

I heart Brussels

It was a funny friday night.

J'ai emmené D.Y. dans un restau japonais. Même s'il voulait absolument m'inviter, après les services qu'il m'avait rendus, je trouvais naturel de payer. Une fois au restaurant, je constate que je ne peux que payer en liquide. Nous ressortons.
Je n'ai pas tout de suite senti le regard sur moi.
Il me faudra quelques secondes pour le voir tourner la tête. Du haut de son vélo... Bj¨...
C'est dans ces moments que je bénis cette ville, et que je ne regrette pas le fait de vivre en plein centre. J'aime l'idée que le centre de cette capitale européenne soit mon petit village à moi, où l'on peut croiser son fantasme au moindre coin de rue.

Après l'orgie de poisson cru, j'appelle D. que je dois retrouver au Fontainas. Ca fait une éternité que je ne l'ai pas vu. Je ne m'en plains pas. Autant je l'adore, autant récemment, il m'a particulièrement tapé sur les nerfs!!!
Il s'installe à une table. "J'arrive". Sur le point de raccrocher, je l'interpelle: "Bj¨... est là?" "Oui".
Je me suis mis à courir, délicieux sourire aux lèvres. Je suis déjà content qu'il m'ait vu avec le mignon D.Y. sortir d'un resto.

Effectivement, il est là, loin, dans tous les sens du terme. Et ce qu'il mâte. Sans arrêt et surtout pas moi.
Après la réponse, mijotée (comme lui...) pendant un jour et demi que je lui ai adressée, c'est quitte ou double, ou devrais-je dire "leave it, or take it". Mais au moins, je ne me suis pas abaissé à ses seuls désirs. De ça, je peux être fier.
Et puis, j'ai l'horrible sensation de ma baisse de libido.
- C'est grave docteur?...-

Soirée agréable en compagnie de D. C'est un peu comme la famille. Quand les conflits se font trop présents, rien de tel que l'éloignement.

2 cocktails plus tard, je reçois un SMS de T.
T.!
Je n'ai pas eu de nouvelle de cet apollon depuis presque 2 ans. A vrai dire, 2 ans pile. Quand je pensais que Bruce ne me recontacterait jamais...
Bref... la surprise est de taille.
La déception aussi. Même s'il s'adresse bien à un Nico, le SMS ne s'adresse pas à moi. Je lui réponds sur le ton de la plaisanterie, il ne réagira plus. Dommage...

Enfin, des petites news de Jeff, mon flirt hétéro...
Toujours hétéro, et toujours en flirt. Il m'appelle ce week-end. Et ce qu'il y a de bien avec lui... (Est-ce son côté trop hétéro...) c'est qu'il le fera... Lui!

Et alors que j'allais rentrer chez moi, deux connaissances m'appellent comme des malades, me courent après et m'offrent un cadeau... Ils l'ont vu, et ont tout de suite pensé à moi.
La surprise est de taille, le plaisir aussi.

I love Brussels!

Friday, August 18, 2006

"Judging is what we do best. It's our hobby""

Samantha Jones

Muchi muchi

Le contact est établi.
Les échanges sont rares, épurés.
Après m'avoir signalé mon affaire avec le meilleur ami de son petit ami... Il conclu toutefois pas "I'm all yours".
Je me suis fais du mouron pour rien... Je savais que c'était gagné d'avance. Après tout, c'est lui qui s'était présenté à moi, trois ans auparavant.

Sa seconde réponse, par contre, est à la hauteur du personnage tel que je devais le pressentir. Après son (heureuse?) allusion à son petit ami, il me pose la question... (à moi!) "Who needs a drink when you can have sex"?

:s

Au moins, il va droit au but. C'est certain.

Je repense à la question de L. au téléphone l'autre jour (cette même L. qui m'a fait faire ce geste insensé de le contacter...) "Why do you want to do it?"
Personne ne m'avait posé la question.
N'est-ce pas incroyable...

Après avoir lu sa gentille allusion sur une fusion prochaine, je ne peux m'empêcher l'amer constatation que, secrètement, au fond de moi, là où je laisse pourrir les choses que je ne veux pas m'avouer, j'espérais plus, j'espérais autre chose.

"Who needs a drink?..." I do... me! the guy who likes a drink before a mind blowing sex session!
Après tout... marre de se sentir comme un morceau de viande. Déjà dans l'ère de l'ancienne communication, ce n'était pas agréable, mais maintenant, plus la peine d'aller passer la nuit dans une boîte à essayer de passer commande chez le boucher, à attendre son tour, que son numéro soit appelé. Non, aujourd'hui, la viande, on la commande sur le Net. Du haut de sa chaise de bureau. On commande, et on consomme direct, à la livraison. Certainement, la peur du manque de fraîcheur.

Je ne veux pas qu'il prenne le dessus. J'ai déjà peur. Je ne peux pas dire qu'il ait été un fantasme pendant six ans, ça n'avait rien de sexuel. Pourtant, j'ai peur qu'à l'image du fantasme, le réaliser me déçoive. Je vais être déçu. Je ne serai pas à la hauteur.
Et puis, je vais me brûler les ailes ne constatant que je ne serai qu'un bout de viande de plus, un numéro, une tête sur son tableau de chasse.
Ces trois années de flirt n'auront donc servi à rien. J'aurais dû le laisser en rêve et fascination. De cette façon, il serait resté, à mes yeux, le plus beaux mecs de Bruxelles.

Rien ne s'est passé, et j'appréhende déjà qu'il ne me rappellera pas.

Plus que jamais, j'ai besoin d’une connexion pour fusionner.
Comme dans une centrale, la fusion demande préparation.
Sans ça, j'ai l'impression de me prostituer. Sauf que je ne suis même pas payer. Aussi beaux que les clients puissent être.

N'est-ce pas le jeu de la séduction le plus amusant, le plus enivrant et le plus excitant dans la rencontre.
Et plus le jeu est long, plus c'est bon... Non?

Alors, après trois ans... Ca devrait être un bon cru finalement :p

Sex & the (diver)City

What's sexier than unzipping one guy's trousers?
Hum... unzipping two...

On n'arrête pas le progrès...

Je suis allé chez le photographe pour des photos d'identités qui seront utilisée pour mon nouveau passeport (un passeport encore plus nouveau que le nouveau qui m'avait été délivré l'an passé!).
En entrant dans le magasin, je suis choqué par la chaleur qui règne alors que (eh oui, même en plein été), il fait si frais à l'extérieur.
Le pire... c'est qu'une espèce d'air co. transportable était installé et cracjait de l'air dans un boucan du diable.
Et le photographe d'expliquer à un client: "depuis ce matin, les gens me disent qu'il fait chaud dans mon magazin, surtout comparé à dehors. Mais il ne se rendent pas compte qu'ils s'habillent plus chaudement et donc qu'ils ont l'impression qu'il fait plus chaud dans le magasin (déjà l'explication me paraît douteuse...). Alors j'ai branché la clim' afin de rafraîchir l'air à l'intérieur."
Je suis médusé. Au lieu d'ouvrir la porte comme toute personne de (bon sens?) ferait, il préfère brancher la clim...

Je m'installe sur le tabouret, prêt à être pris en photo. Je ne souris jamais sur les photos, je n'aime pas ça. Et les photographes pouvaient essayer, c'était toujours vain! "Alors, comme ce sont des photos pour la passeport, la loi oblige un cadrage spécial, vous devez regarder bien droit dans l'objectif, que je vois vos deux oreilles. Et... Ah oui... il est interdit de sourire!"
Il m'aura fallu au moins une minute trente pour calmer mon fou rire! Et une minute trente à rire, alors que d'autres clients attendent... C'est long!

En bonus, j'apprends que, toujours pour ce même passeport, je dois fournir un certyificat de naissance datant de moins d'un an.
Comment ça, moins d'un an. Il se pourrait que l'année prochaine, je ne sois plus né au même endroit?...

Wednesday, August 16, 2006

Bêtement... il ne savait certainement pas qui j'étais.

Attendre de nouveau...

Et se sentir idiot.

Tuesday, August 15, 2006

MONOMANIAQUE...

Voilà, cette fois, IL est bel et bien parti.

Diskonnect.

Sans faire de signe, ni laisser de trace.
Proprement et silencieusement.

C'est un mauvais rêve, vivement que j'en sorte!

Je ne peux pas croisre qu'IL me fasse cela, pas après tout ce temps, et toutes ces choses...
Il paraît que je n'ai aps de regrêt à avoir.

Ca me fait amèrement sourire.
Le pire, c’est que secrètement je me dis : effectivement, il est bloqué et ne peut pas utiliser ses messages et qu’il est en train de remuer ciel et terre pour me contacter.

Parfois, je suis vraiment naïf et stupide !

Le fait-il exprès?
Ai-je percé un abcès imaginaire.

Tellement de mal à m'y résoudre !
Je ne peux pas croire… Il doit y avoir une explication comme celle qu’il n’a plus la possibilité des messages.

Parfois, on se raccroche quand même à n’importe quoi…
Je me sens nul.

Il ne peut pas ne pas répondre!

Au moins, il est toujours en ligne…
Et s’il n’avait pas la possibilité de répondre…
Quelle horreur !
Déjà une heure. Je préfère me déconnecter. Il pourra toujours laisser un message. Mais j’ai l’amer impression que la tornade qu’il provoquait chaque fois que l’on se rencontrait dans mon cœur, mon corps et ma tête, n’était que le fruit de mon imagination.

Fin du chapitre?

Oh my god!

Je me sens comme un ado !
Il a lu mon message, je le sais. Et maintenant, tremblant, j’attends un signe de sa part. Qui semble tarder.
Je n’arrive pas à croire combien tout mon corps réagi, je peux à peine taper sur mon clavier.

Et moins je vois de message arriver, et plus je tremble. Et s’il ne répondait pas ? Et si je m’étais fourvoyé ? Non… ce n’est pas possible. J’ai l’estomac noué et je dois respirer profondément pour ne pas exploser.
Toujours rien, s’il se déconnecte, je devrai affronter ma défaite. Oh my god ! Mais qu’attend-il ? Je ne peux même pas travailler. Mais plus le temps passe, moins de message semble arriver et plus la crainte de son silence m’envahit.
Pourquoi l’ai-je fait ? Pourquoi l’avoir contacter ?

L’attente.

La chair de poule.

Et toujours rien.

Quel bâtard !

Je ne tiens plus !

Monday, August 14, 2006

Lundi plus vieux...

La pluie s'écrase vainement sur mes carreaux. L'Ipod crache la musique qui s'enchaîne. C'est une journée sans âme, veille d'un déprimant jour férié.

L'après-midi est déjà bien avancé. J'ai bu thé sur thé. Que faire ce soir? Envie de sortir, envie de b*****, envie de te contacter...

Envie de rêver. Pourtant, j'ai l'impression d'avoir épuisé mes rêves. Non pas qu'ils aient été réalisés, ce serait trop beau; non, ils ont été détruits. Ce n'est pas triste, cela arrive. Je ne suis pas sans âme; même si je sais être foncièrement méchant.


Envie de me noyer dans un océan d'ambre. Envie d'être début septembre et de pouvoir enfin partir. Enfin abandonner, lâcher prise. M'abandonner.

Et si j'allais me noyer dans mon bain...

Boîtes à secrets...

J’ai dans ma tête, bien ordonnées,
Des boîtes à secrets fermées à clé
Que nul ne peut ouvrir
Ni même découvrir

Comme des coffres à trésors
Qui me bercent quand je m’endors,
Quand la nuit est si cruelle,
Je ne dors qu’avec elles

Mais ces trésors que je chéris
Prennent une place infinie
Quand ma tête en veut encore
Plus de place pour les trésors…

Coffrets de poussières remplis de secrets,
Que je prends pour du bonheur, en vrai
Sentiments confus et malaisés
Ne font que me tromper.

Dans ma tête se trouvent, bien ordonnées,
Des boîtes à secrets dont j’ai perdu la clé
Je ne peux plus les ouvrir,
Je ne veux plus les souffrir

Comme ces coffres à trésors,
Deviennent cauchemars quand je m’endors,
Comme la nuit est cruelle
Comme ces secrets sont cruels.

J’aimerais un jour, comme des colombes,
Libérer ces boîtes, que les secrets tombent,
Que, une fois avalés, digérés,
Je puisse les oublier.

Et que dans ces nouvelles boîtes à secrets
Rangées fraîchement, sera dépeinte, en vrai
Ma vie libérée de mes tourments.
Ma vie, tout autrement.

Friday, August 11, 2006

Bj¨...


Peut-être serait-il temps que l'on arrête ce petit jeu.

Petit serait-il temps que je mette fin à 6 années de fascination.
Qui, malgré tout ce que j'ai pu entendre... sont restées intactes.

Je sais que je vais me brûler les ailes.
Je cours à nouveau vers mon propre malheur.

Mais puisque je lui ressemble.
Peut-être en mieux,
Peut-être pourrais-je simplement prendre sa place.

Et puisqu'il est le meilleur ami de celui qui est parti (a-t-il eu raison, oui!)
Ce serait une nouvelle guerre qui commencerait.

Je ne suis plus à ça près!

Londres de son ombre

Londres reste un lieu miné. Comme une terre après un violent orage. On sait que le soleil va poindre. Mais l'herbe dégage une odeur "d'après pluie", encore humide par les gouttes versées. Certains arbres garderont à jamais la marque de la foudre qui s'est abattue. Et malgré la chaleur, il faudra du temps afin que le paysage retrouve sa beauté.
Il gardera pourtant des séquelles...

Londres reste un terrain miné. Et je force des lieux qui me devraient être interdits. J'y dors, même! La malédiction n'est pas levée. Il règne une ombre sur Londres.
Je le retrouve dans des profils; je l'entends dans des accents, des expressions; je le vois dans des allures; je le sens dans des parfums. Et parfois son fantôme hante les rues qui ont connu notre bonheur.

Je l'ai encore sous la peau. Là où mes défenses ne savent pas pénétrer.

Son regard, son sourire, son air parfois si sérieux, son amour... tous sont aussi vifs dans mes souvenirs que mes larmes qui mouillent encore mes joues. Et pourtant, il n'est plus là; il ne vit plus ici, mais son âme y est encore.

Et le bonheur que nous avons semé, quand, seuls contre la ville, tout nous appartenait; quand je nous croyais invincibles. Quand je l'étais. Avant que la fissure ne devienne faille;
Avant que je ne plonge.

Et encore aujourd'hui, je tombe. Toucherai-je le fond un jour? Pour me relancer...

Ce ne sera pas à Londres. Ce bonheur parsemé a pourri aujourd'hui.
Alors, Londres je fuis.
Cette ville, qui fût mienne autrefois, n'est plus que le déchet de mes amours anciennes.

Sur la ville plane encore son ombre
Et sur la ville traîne ma silhouette sombre
Comme sur ma vie traîne encore son ombre.

Un jour viendra... Sans Londres d'un doute!

Dancing queen

Have you confessed?

Wednesday, August 09, 2006

Et pourquoi est-il plus facile de trouver quelqu'un qui vous aime que de tomber amoureux?
Je me noie pour essayer de ne plus me reconnaître.
Et j'y parviens.

Je m'expose, là, en place publique et impudique.
Je flirte avec le vide des échanges sans lendemain.
Et je crois remplir ma vie avec ce rien.

Wednesday, August 02, 2006

Et ce n'était pas toi...

Il y avait bien longtemps que je n'avais pas passé une soirée au calme. Petit dîner, DVD et calin.
Chacun s'est endormi devant le film.
Puis, pendant son brossage de dents, je me suis traîné jusqu'au lit pour m'y effondrer, érienté, en attendant mon tour.

J'entendais l'eau couler. J'entendais le bruit de la brosse courir sur ses dents, je l'entendais se rincer la bouche.

Et je me suis mis à rêver.

Mis à rêver que c'était toi...

Je t'ai entendu te rincer la bouche. Je t'ai entendu éteindre la lumière, passer le rideau de perles.
Et pendant une seconde, je pense avoir cru que tu allais pénétrer la chambre et t'allonger à mes côtés, comme tu l'as fait si souvent.
J'ai cru que, vêtu de ton simple boxer blanc, tu me serrais contre toi et que l'on s'aimait comme... on s'est aimé.

Et puis il est entré et le rêve s'est effondré.