Friday, December 14, 2007

Je pourrais disparaître sans un bruit, à pas de loup
Aussi discrètement qu'une particule de poussière
Emporté par le vent, je m'en irai n'importe où
Pour me faire recueillir par un rai de lumière

Car, comme les temps changent, je ne puis m'adapter
Au fond de moi, le sang figé ne circule plus
Je respire péniblement entourée d'un nuage de fumée
Où le passe, le présent et le futur se mêlent confus

Et l'or de mes yeux roule sur mes joues
J'observe immobile, incapable du moindre geste
Et doucement je m'en remets à vous

Je ne veux plus me battre, fatigué de faire semblant
Je veux épurer le superflu pour que le meilleur reste
Pour renaître de mes cendres, au creux d'un crépuscule naissant.

Monday, August 27, 2007

FASCINANT!

Monday, August 20, 2007

Knock, knock

?

Monday, July 09, 2007

Cadavre exquis

Mes jambes flanchent alors que le sol cède
Sous mes pieds douloureux d'avoir marché trop longtemps
A errer dans un monde inconnu entre désespoir et bohème
J'ai le cœur vidé d'avoir trop aimé, mort au-dedans

Mais cette carcasse qui entame sa propre putréfaction
Peut encore faire souffrir quand le couteau est remué
Quand je cède au supplice de l'auto-mutilation
Même en bouilli, mon coeur me fait souffrir à vouloir aimer

Non! Coeur, non… il est trop tard, le temps est révolu
Tu n'as plus de sang à couler, plus de larmes à verser
Et mon âme est froide comme mes nuits dépourvues

Non! Coeur… non… ce désert aride n'a pas de fin
Inutile d'espérer, intile de rêver, il faut regarder la réalité.
Et mon âme en peine va errer. Passabblement, attendant la fin.

Friday, June 15, 2007

Lost & Found...

I really wanted to go
it hurt me too much to stay
I run away so fast
that my heart couldn't find the way

Then you came along

and I was tired of my sadness
it seemed as though my life went on
but the feeling didn't last

(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)

holding on to everything that's gone
saving my life from going on
thinking of what else I could have done
it wasn't meant to be
(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)
I was lost and found

I was back on my feet
you could say I was barely walking
but the cut was deep
and I was holding on to the past

(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)

holding on to everything that's gone
saving my life from going on
thinking of what else I could have done
it wasn't meant to be

he had taken my illusions
and I needed them so badly
I grew tired of my confusion
cause he was still there
everywhere

You came along and I was lost and found (lost and found)
my life went on but I was lost and found
you came along when I was stuck in the past
there was a new life in sight
but I was blind...

holding on to everything that's gone
saving my life from going on
thinking of what else I could have done
it wasn't meant to be
(and then you came along and I was lost and found
my life went on but I was lost and found)
there was a new life in sight
but I was blind...

Tuesday, June 05, 2007

Pour vivre heureux…

Etre ton courtisan secret
Celui qui te rejoint le nuit, dans ton "bouddhoir"
Juste celui que tout le monde ignore
Quand je réside au fond de ton cœur

Continuer ma vie sans m'en préoccuper
Mais obéir à tes faveurs
A tous tes désirs
Lorsque tu le désires

Jouer les mignons, les favoris,
Dans mon rôle de bardache
M'incliner devant toi…
M'incliner, derrière, toi…

Et puis repartir, à pas de velours
Alors que les rais de lumière poignent
Alors que je fuis dans la fraîcheur matinale
Le bonheur au fond du cœur

Et dans le secret de notre intimité
Lovés loin de ta notoriété
Sceller notre dualité
Et vivre heureux, vivant cachés!

Tuesday, May 29, 2007

Champagne...

« Je le bois lorsque je suis joyeuse et lorsque je suis triste. Parfois, je le prends quand je suis seule. Je le considère obligatoire lorsque j'ai de la compagnie. Je joue avec quand je n'ai pas d'appétit, et j'en bois lorsque j'ai faim. Sinon je n'y touche jamais, à moins que je n'aie soif »

Mme Bollinger, une native…

Monday, May 28, 2007

"That's the thing though. I did find love. I met him, finally. And then... everything just fell apart. And i'm worried. I'm afraid he took away my ability to believe."

Charlotte York

Friday, May 18, 2007

DNA

"The music you are playing really blow my mind..."

Saturday, May 05, 2007

Les adolescents troglodytes

"Il voulait me ranger dans une case un peu plus convenable pour lui. Dans certaines lettres il essayait de me faire avouer que j'étais un homosexuel refoulé, impossible pour lui de séparé identité et sexualité. Quand il écrivait ça, tu es homo, je me voyais coucher avec une fille, ça me laissait perplexe. Je comprenais alors qu'il était complètement à côté, puisqu'il me voyait garçon couchant avec un garçon, quand j'avais déjà de si beaux seins, et le geste qui va avec."

Emmanuelle Pagano

Wednesday, May 02, 2007

Démons...

Je savoure ces heures d’incompréhension
Quand mes yeux sont à cent lieux de tes yeux
Quand le monde tourne sans toi
Comme le mien tourne aussi, au pas.

Je savoure ces moments où le temps infini s’arrête
Quand l’atmosphère se mêle lourde et légère
Quand je suis non loin de toi, à quelques pas
Et que ton regard se pose, inexorablement sur moi

Quand la tension monte à la tête, dans le pantalon… tendu
Quand ma tension monte, que mon sourire est fendu
L’histoire ne s’arrête pas là où nous l’avons laissée
L’histoire ne s’arrêtera pas. Que l’on soit morts blessés

Et l’ivresse de nos instants, fugaces, doux, violents, orgasmiques
Le plaisir de la chair, de ta chair, de ma chair
Des mots sans importance puisqu’ils ne sont pas vrais
De l’intimité fusionnelle, perdue, retrouvée, sans arrêt.

Te laisser mariner, me laisser espérer quel jeu
Stupide et délectable. Ignorer que l’on se brûle avec le feu
Je persiste et signe, nos deux destins sont liés
Je m’en couperais les veines à en devenir fou à lier

Tuesday, May 01, 2007

Vieux Démons (3)

Je ne m'étais donc pas trompé.

Mais te voir revenir à moi comme ça...
CA! J'espérais secrètement, mais ne m'y attendais pas.

Quelle délectation...

Wednesday, April 25, 2007

Vieux Démons (2)

Mais après toute cette onanité...

Je me rends compte que, malgé le chemin parcouru, malgré nos rencontres, notre intimité et le reste, rien n'a changé et nous en sommes à nouveau comme durant ces années de communication sans un mot...

L'affaire reste donc à suivre.

Moi non plus, je ne sais pas taire mes vieux démons...

Tuesday, April 24, 2007

Vieux Démons (1)

Dois-je me réjouir en constatant que ses anciens démons soient à nouveau là?
Dois-je me réjouir que dans son regard, quand il me voit, se mêle fascination, envie et manque de courage?
Dois-je me réjouir de constater que, finalement, il n' appartiendra jamais à personne?
Parce que les choses se sont concrétisées trop vite.
Je devrais être à ses côtés. Si des fois je me dis que j'aimerais, d'autres, je penses, tant mieux.

Il n'a pas eu le courage.
J'en souris!

Et pourtant...
Pourquoi foncer droit dans le mur nous attire toujours plus?

Tuesday, April 17, 2007

Lancer de pétales

"On ne me rend pas assez hommage dans la vie pour toutes les choses que je réussis à ne pas dire."

Meg Rosoff

Thursday, April 12, 2007

B. D.

Il y a peu, je rêvais que tu te suicidais.
Tu disparaissais
Triste de n'avoir pu affronter le "nous" que nous étions
Que nous aurions pu être.
C'était triste.
Triste et courageux.

Un tristesse que je n'ai pas ressenti à mon réveil.
Ne restait que le choc de ta disparition.

Je t'ai tué tout simplement
Symboliquement.
Je me suis libéré de tes jougs.
Soufflé par la brise de printemps
Emporté avec le pollen et les pétales de fleurs.

Ne reste que la marque indélébile, belle, impérissable
Un véritable trésor au fond de moi.

Que je ferai revivre.


Car je revis désormais.

En effet, c'est tout moi...

"Cœur en téflon"
"Tempérament inflammable"


Aujourd'hui...


www.La star, c'est moi.eu
;p

Merci Candice!

Friday, March 23, 2007

Flash-back...

A quelques jours de retourner à Los Angeles, je ne peux m'empêcher de repenser à la rencontre faite la dernière fois que j'y étais.

"Comme chaque jour, après mon petit-déjeuner frugal, j'allais faire un petit tour à la piscine avant de buller dans le sauna de l'hôtel, calme et vide. Ce jour-là, des vêtements étaient accrochés à l'intérieur même du sauna. Zut... pas moyen d'être tranquille! Pourtant, personne. Etrange. Je m'installe et me remets de ma séance de natation.

La porte s'ouvre.
Il entre.
Il incarne le parfait fantasme que je pouvais avoir, ado, en regardant les séries télé américaines.
Il est beau, grand, musclé... Parfait.

Sur moi s'abat la gêne de mon corps frêle, aux muscles à peine dessinés. Les yeux baissés, je cache mon seul atout…
Pourtant, il entame la conversation.
D'abord classique, banale. Puis plus intime. Je réponds par monosyllabe. Il m'écrase par sa perfection.
Il est tellement à l'aise, nu sous sa serviette.

Et puis, échange de prénoms (je l'ai déjà oublié...). Il est photographe et vit entre Los Angeles et Chicago. Un travail assez rentable pour rester au Fous Seasons quand il est à L.A.!

Changement de lieu, le Hammam. L'ambiance est lourde. Non pas à cause de la vapeur qui vient caresser les corps. Mais parce qu'une tierce personne est là. Le silence pesant met terriblement mal à l'aise. Heureusement, l'intrus ne reste pas longtemps. Et la conversation peut reprendre. Mais bientôt le sauna revêt son activité journalière, la fréquentation nous sépare.

Et puis je n'avais pas le courage de lui tendre quelque perche que ce soit. Pas uniquement à cause de mon manque de confiance, mais aussi parce que, à l'époque, B. était dans mon cœur.

Le reste du séjour, son fantôme hantera l'hôtel.J'espère le croiser dans le moindre couloir, à chaque ouverture des portes de l'ascenseur...
Je sentirai encore son odeur à chaque fois que j'entrerai dans le sauna

Je ne le reverrai pas.

Je n'aurais même pas osé lui demander où il sortait quand il était à L.A.

Il s'est évaporé comme la buée sur un miroir.
Il s'est envolé alors que mon avion décollait.
Il est venu se déposer au fond de ma mémoire. Venu tapisser mon souvenir. Embellir d'une possibilité mes espoirs futurs."

Il est bon de se rappeler parfois, que le monde est plein de possibilités. De ressources quasi inépuisables…

Wednesday, March 07, 2007

Nothing Better?

Will someone please call a surgeon
Who can crack my ribs and repair this broken heart
That you're deserting for better company

I can't accept that it's over...
And I will block the door like a goalie tending the net
In the third quarter of a tied-game rivalry

So just say how to make it right
And i swear i'll do my best to comply
Tell me am i right to think that there could be nothing better
Than making you my pride and slowly growing old together

I feel I must interject here
you're getting carried away feeling sorry for yourself
With these revisions and gaps in history

So let me help you remember.
I've made charts and graphs that should finally make it clear.
I've prepared a lecture on why i have to leave

So please back away and let me go
I can't my darling i love you so...

Tell me am i right to think that there could be nothing better
Than making you my pride and slowly growing old together
Don't you feed me lines about some idealistic future
Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures

I admit that i have made mistakes and i swear
I'll never wrong you again
You've got a lure i can't deny,
But you've had your chance so say goodbye

Say goodbye...


The postal Service

Monday, February 12, 2007

Egocentrisme


Dans le rue, je croise mon ami R. qui me fixe droit dans les yeux pendant une éternité avant de s'exclamer:

- Han! Mais tu as de tr...
Il s'arrête et se reprend:
- Tu as des cils plus longs que les miens!


Tout est question de nuance!
Tapi dans l'ombre je cherche ma place
Mais tel un animal blessé, je m'efface
En vers et contre tous, Me terrasse

Est-ce moi qui joue les self-saboteurs?
Qui plonge inévitablement dans mes erreurs
Et me font pâtir de mes horreurs

Le sentiment d'injustice ronge,
Démange, détruit comme des mensonges
La vie est cruelle, elle l'est, le restera
Et détruit mes pas et mes émois

Mais pour sûr, l'histoire se répètera
Encore et encore et encore plein de fois
A vouloir attraper la main qui se retire, je plonge
Et la vie comme une rumeur qui se prolonge…

Thursday, February 08, 2007

Paris Hilton ou la fuck you attitude!

"Ainsi sur le plateau de Nulle part ailleurs, face à Jamel Debouze, il se joue une scène intéressante. Le jeune comique cherche aussitôt à la (Paris Hilton) réassigner, la mettre à sa place de femme déchue: "Toi, je te connais, je t'ai vue sur Internet". Il parle au nom de son sexe, compte sur sa supériorité intrinsèque pour la mettre dans une position délicate. Mais Paris Hilton n'est pas la hardeuse locale, avant d'être une femme dont on a vu la chatte, elle est l'héritère des hôtels Hilton. Il est pour elle impensable qu'un homme de rang social inférieur la mette en danger ne serait-ce qu'un quart de seconde. Elle ne sourcille pas, elle le regarde à peine. Zéro déstabilisée. Elle ne fait pas montre ici d'un caractère particulier. Elle nous fait savoir, à tous, qu'elle peut se permettre de baiser devant tout le monde. Elle appartient à cette caste qui a historiquement droit au scandale, à ne pas se conformer aux règles qui s'appliquent au peuple. Avant d'être une femme, soumise à un regard d'homme, elle est une dominante sociale, pouvant occulter le jugement du moins nanti."
Virginie Despente, King kong Theorie

Monday, February 05, 2007

J'ai l'âme inerte en même temps...

Electrochoc!

Je ne peux simplement croire que LUI
Qui a été tout pour moi
Qui a été tellement plus qu'un simple amour
L'homme de ma vie, un véritable mode de vie
LUI, que j'ai découvert, venait à Bruxelles sans même prendre la peine de me le dire
Oui, LUI aux côtés de qui j'ai passé des moments si splendides
Les plus beaux, les plus magiques
LUI puisse être là.

Je ne (voulais pas?) croyais pas D. quand il m'a dit qu'il lui semblait L'avoir vu.
Pourtant, comme il le précisait, il est si bon physionomiste.
Je suppose que je ne voulais pas le croire. Non, pas ça.

LUI, là, qui ne me voit pas.
Passer mon chemin? L'ignorer?
J'aurai fini par LE confronter.
LUI dire bonjour puis s'évader
(La pensée me fait encore sourire)
Je LE salue et je m'enfuie
(Non! Je ne me retournerai pas)

Je n'en reviens pas du recul que j'ai acquis.
Je ne savais plus...
Que faire?
Continuer ma vie comme je le fais si bien, si fièrement depuis des mois
(se tenir bien droit!)

Je crois que LE savoir là m'a forcé à m'amuser encore plus.
A oter les derniers doutes, à enlever le flouté de mes yeux.
En une nuit se retrouver entre le passé, le présent et un potentiel futur.

Oui, entre le bras de DA., je connaissais les chances (les risques?) qu'IL me voit.
Même si je ne L'ai pas repéré, je suis certain qu'IL m'a vu.
Quelle douce ironie du sort.
Je rencontre quelqu'un qui parvient à me séduire lors d'une nuit si catastrophique.
Quel noir dessein de mon destin.

De ma hauteur,
Je L'ai observé.
Ridicule, oui. En apparence.
Je LE savais touchant, du fond de LUI. Mais IL ne me touche plus.

Quand je pense que ce jour-là, j'avais envisagé de LE remettre dans mes contacts MSN.
Oui, bien sûr et honnêtement, j'aimerais (j'aurais aimé?) avoir de ses nouvelles.
(Je n'en aurai pas.)

Pourquoi?
Juste pour me dire que j'ai gagné.
Parce qu'au fond, si challenge il y a eu, je sais que je l'ai remporté haut la main.
Le jour où tout s'est effondré, IL savait déjà qu'IL n'avait aucune chance.
Sinon, rien n'aurait été pareil.

Et les mots de G. qui résonnent dans ma tête:
"Il ne te mérite pas"
(Se le répéter, comme une incantation)
C'est vrai. Je le pense sincèrement.

Qu'IL s'enfonce dans sa vie d'illusion, moi je frôle mes rêves, je les tisse pour leur donner de la teneur, du réel.

Ca vaut tous les ex du monde.
Ca vaut tout l'or du monde.

Saturday, February 03, 2007

Je veux savoir où naît le vent...

Friday, February 02, 2007

Ou bien croupir dans mes propres oubliettes...

Le vent souffle sur mes cadavres
froid et capricieux, un glas givrant!
Je nage dans la vie comme une épave
L'autel de mon coeur a perdu son diamant

Et la misère me touche de plein fouet
je ne supporte plus mes nausées
Montré du doigt. Ils hurlent "bien fait!"
Qu'ai-je vraiment fait pour le mériter?

Je me jette dans le vide qui me rejette
Je fuis la vie qui me rattrape, me fouette
Je fuis les miens qui se rient de mes courbettes

Je veux disparaître dans l'infini univers

Me fondre dans les bas-fonds de mon enfer
Geler sur place et offrir ma vie à cet hiver.

Monday, January 29, 2007

Paradise

I can't remember
When I was young
I can't explain
If it was wrong
My life goes on
But
not the same
Into your eyes
My face remains

I've been so high
I've been so down
Up to the skies
Down to the ground

I was so blind
I could not see
Your paradise
Is not for me

(Autour de moi
Je ne vois pas
Qui sont des anges
Surement pas moi
Encore une fois
Je suis cassée
Encore une fois
Je n'y crois pas)

I've been so high
I've been so down
Up to the skies
Down to the ground

There is a light
Above my head
Into your eyes
My face remains

I've been so high
I've been so down
Up to the skies
Down to the ground

Into your eyes
My face remains...

Madonna
Pay no intention to my nonsense
Hissé dans ce coin;
surélevé...
A oberserver
(Observer)

Envie de poser le pied
Sur tous
Du pied, les écraser
(Vous écraser)

Telles des fourmies éparpillées
(Paniquées)
Ecraser une à une

Un sourire de satisfaction flanqué aux lèvres
Vous... (Toi)
La joie m'élève
Je m'élève

D'un simple coup de pied,
(Désolé)
Tous vous niquer
(Désolé)
Et savourer...

Dommage pour vous.
Vous m'en vouler?
Voilà de quoi me faire savourer

Vous me haisser
Et bien continuer.

J'en ai rien à kicker!
Youpi...!

Sorry (and more...)

Speak...

Don't say forgive me...
(Forgive me...)

Don't say, you're sorry!

I can't take it anymore!
(Can't take it... Sorry...)

Can't take it... anymore...
(Sorry)

I've listened to your lies
(And all your stories...)

And I
(And I...)
And I
Can't take it... anymore!

Can't take it...
(Sorry)
Can't take it... anymore
(Sorry)

Don't say forgive me
(I've heard it all before)
Don't say you're sorry
(I've heard it all before)

And I
(And I...)
I've heard it... all before!

Don't talk...
Don't speak...
Don't talk...
(Sorry)
Don't speak...
(Sorry...)
Don't talk...
(Sorry)
Don't speak...
(Sorry...)


Don't... Speak...

Friday, January 26, 2007

N. T. P.

Il va bientôt sortir de sa gangue
Véritable bombe à retardement
Qui laissera une terre envoûtée et exsangue...

Tuesday, January 23, 2007

Duende

Douce désolation au creux du soleil

Le heures sont si longues
Regarde ma vie!
Baigné dans les ombres
Regarde ma vie!
Destin m'ensorcèle
Regarde ma vie!
Quand le temps s'emmèle
Regarde ma vie!

Vois les anges qui s'effondrent
Dans le royaume des ombres
Quand mon coeur est si sombre...

La joie me renvoie
Regarde ma vie!
Au fond de l'émoi
Regarde ma vie!
Frontière de mes rêves
Regarde ma vie!
Où s'assèche ma sève
Regarde ma vie!

Perdu dans les songes, là où meurt ma joie...

Demain n'existera pas
Pas de Dieux, pas de loi
Juste un désert sans foi

L'hiver tue l'été
Regarde ma vie!
Et les yeux fermés
Regarde ma vie!
Doucement plonger
Regarde ma vie!
Pour l'éternité
Regarde ma vie!
Et les yeux fermés
Regarde ma vie!
Plonger pour l'éternité.

Monday, January 22, 2007

"I'm already dead anyway"

Bloqué devant ces images, je ne peux bouger
Loin de ma réalité cotonneuse et erronée
Sur un continent qui a vu naître la civilisation
Dans des contrées loin de mes propres illusions

J'entends le balles qui pleuvent sans une trève
Les gens qui meurent ne connaissent pas les rêves
Quand je m'enferme dans mon monde à moi
Eux se battent, s'affrontent et se déchirent sans loi

J'en ai versé des larmes, je pourrais en verser encore
Mes yeux sont ouverts. Je veux les garder même quand je dors
Mais je sais que le cocon va se refermer sur moi

Je n'aurais de toute façon jamais la force de tendre la main
D'autres le font à ma place, et il font ça très bien
Où se trouve mon courage à moi? Ca, je ne sais pas...

Et d'un coup…

C'est dans les bas-fonds de ma propre réalité
Que croupissent les noirs démons de ma fatalité
Un hiver sombre et ténébreux qui jamais ne se termine
Devient rouge sang quand l'espoir se fait vermine

Les sentiments ne sont plus, reste un vide, béant
Plus la moindre trace d'humanité, désert long et menaçant
Les mains souffrent du froid et de la solitude
Résonne en moi les horribles vestiges de cette altitude

Et dans mes douves se noient les rois de cœur
L'as de pique se plante en plein dans ma rancoeur
Quand doucement périssent les chemins du bonheur

Et c'est un sourire flanqué sur ces lèvres gercées
Que je me vois contraint et forcé d'avancer
Sur un chemin qui ne connaît pas de vérité!


A Poupou...

Or in a heavy and strange atmosphere...



My life as a Greenaway movie…





Drogué…

Un véritable coup de cœur comme j'en ai rarement.
C'est devenu une véritable drogue. Je ne peux pas faire sans ma dose quotidienne et c'est parfois à excès!

Ils s'appellent Joshua et sortent, aujourd'hui, leur premier album: Music & Chocolate.

C'est du 100% belge, du 100% talent, du 100% potentiel pour aller loin.
Et on leur souhaite!

A écouter, à voir, à partager!

ENJOY!

Monday, January 15, 2007

La véritable bataille à mener...

Le Djihad majeur ou grand Jihad

Le Djihad majeur est l'effort que doit faire tout musulman pour lutter contre lui-même, contre son égoïsme et ses instincts, contre son orgueil et sa passion de dominer les autres. Le grand Jihad est la lutte intérieure que le musulman mène contre l'envie et la jalousie, le mensonge, l'adoration quelle qu'elle soit, qui l'écartent du chemin de Dieu.

Tenter, c'est déjà une victoire.

Friday, January 12, 2007

Lananeeneenoonoo

Tout est là...

Et Paf!

Nico, touché en plein cœur par un prince…
Ca ressemble presqu'à un conte de fées.


Oui… S'il n'était pas marié…
Je me dis que ça sonne plus comme un règlement de conte…

Florence Spears...

Tuesday, January 09, 2007

Envies

Des envies de L.A.
Des envies d'anonymat, de perte de soi, de renouveau
Des envies de se perdre dans l'immensité d'une ville qui partage le meilleur comme le pire.

Des envies de soleil, de châleur, de palmiers, d'exotisme occidental.
Des envies d'une nouvelle identité de devenir quelqu'un d'autre, de devenir quelqu'un.
De revêtir une seconde peau, idéalement, celle de Nikki T. Price.
Celle de celui qui sommeille en moi depuis si longtemps... depuis trop longtemps.
Il est temps.

Des envies de ne plus être moi pour mieux me retrouver, pour mieux me protéger, pour mieux m'élever, pour mieux me venger.

Des envies que je dois réaliser.
Des envies que je vais réaliser.
Des envies que je suis en train de réaliser.

Faîtes un vœux...
"Chuuuuuuuut..."

Et si?...

Dans un coin de la chambre, la lampe diffuse sa lumière rouge
Porte entrouverte...
Mouvements perpétuels, va et vient...
Des visages, des mémoires...
Des souffles qui s'alternent
Quelques râles
Et des effluves de produits…

Des corps en sueur,
Des parfums bruts
Une course?
Une recherche?
Une petite mort?
Une renaissance?
Encore et encore.

Le plaisir garde-t-il un sens?

Monday, January 01, 2007

Nico 2007