Envie de simplement sentir sa bouche sur la mienne, son regard sur moi, sa main qui me frôle, qui s'aventure doucement sur mes hanches.
Envie d'entendre sa respiration s'intensifier, légèrement, pudiquement.
Envie de sentir son ventre ferme, ses formes incurvées qui trahissent le sport qu'il pratique. Sentir ses bras, musclés...
Sentir sa passion, son amour. Le sentir en moi, le sentir perdre le contrôle, s'abandonner. S'offrir totalement...
Sentir ces faiblesses qui se cachent derrière son masque de fer.
L'aimer, encore et encore. Toujours plus, toujours mieux. M'abandonner, en toute confiance.
Envie de m'épanouir dans les bras de celui qui m'aiment comme jamais personne ne m'a aimer. Celui que j'aime comme je n'ai jamais aimé. En toute sincérité, en toure simplicité. Bouffés de bonheur.
Envie, encore...
En vie...
Et puis m'endormir dans ses bras. En paix. En toute sécurité dans une nuit que je voudrais ne jamais voir finir. A l'abri du vent, du froid, du mal, des ténèbres. Instant infini. Le monde peut mourir tant que je suis dans ses bras.
Pas envie de sentir la douleur quand il bouclera sa valise à nouveau. Quand il retournera là où il ne peut-être lui-même.
C'est si facile d'en avoir envie quand on sait que cela va arriver.
C'est si dure d'en être arraché.
Envie de ne pas attendre, comme je le dois. Cette mère du Nord me sépare toujours de toi.
Wednesday, November 30, 2005
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