Mme Bollinger, une native…
Tuesday, May 29, 2007
Champagne...
« Je le bois lorsque je suis joyeuse et lorsque je suis triste. Parfois, je le prends quand je suis seule. Je le considère obligatoire lorsque j'ai de la compagnie. Je joue avec quand je n'ai pas d'appétit, et j'en bois lorsque j'ai faim. Sinon je n'y touche jamais, à moins que je n'aie soif »
Monday, May 28, 2007
Friday, May 18, 2007
Saturday, May 05, 2007
Les adolescents troglodytes
"Il voulait me ranger dans une case un peu plus convenable pour lui. Dans certaines lettres il essayait de me faire avouer que j'étais un homosexuel refoulé, impossible pour lui de séparé identité et sexualité. Quand il écrivait ça, tu es homo, je me voyais coucher avec une fille, ça me laissait perplexe. Je comprenais alors qu'il était complètement à côté, puisqu'il me voyait garçon couchant avec un garçon, quand j'avais déjà de si beaux seins, et le geste qui va avec."
Emmanuelle PaganoWednesday, May 02, 2007
Démons...
Je savoure ces heures d’incompréhension
Quand mes yeux sont à cent lieux de tes yeux
Quand le monde tourne sans toi
Comme le mien tourne aussi, au pas.
Je savoure ces moments où le temps infini s’arrête
Quand l’atmosphère se mêle lourde et légère
Quand je suis non loin de toi, à quelques pas
Et que ton regard se pose, inexorablement sur moi
Quand la tension monte à la tête, dans le pantalon… tendu
Quand ma tension monte, que mon sourire est fendu
L’histoire ne s’arrête pas là où nous l’avons laissée
L’histoire ne s’arrêtera pas. Que l’on soit morts blessés
Et l’ivresse de nos instants, fugaces, doux, violents, orgasmiques
Le plaisir de la chair, de ta chair, de ma chair
Des mots sans importance puisqu’ils ne sont pas vrais
De l’intimité fusionnelle, perdue, retrouvée, sans arrêt.
Te laisser mariner, me laisser espérer quel jeu
Stupide et délectable. Ignorer que l’on se brûle avec le feu
Je persiste et signe, nos deux destins sont liés
Je m’en couperais les veines à en devenir fou à lier
Quand mes yeux sont à cent lieux de tes yeux
Quand le monde tourne sans toi
Comme le mien tourne aussi, au pas.
Je savoure ces moments où le temps infini s’arrête
Quand l’atmosphère se mêle lourde et légère
Quand je suis non loin de toi, à quelques pas
Et que ton regard se pose, inexorablement sur moi
Quand la tension monte à la tête, dans le pantalon… tendu
Quand ma tension monte, que mon sourire est fendu
L’histoire ne s’arrête pas là où nous l’avons laissée
L’histoire ne s’arrêtera pas. Que l’on soit morts blessés
Et l’ivresse de nos instants, fugaces, doux, violents, orgasmiques
Le plaisir de la chair, de ta chair, de ma chair
Des mots sans importance puisqu’ils ne sont pas vrais
De l’intimité fusionnelle, perdue, retrouvée, sans arrêt.
Te laisser mariner, me laisser espérer quel jeu
Stupide et délectable. Ignorer que l’on se brûle avec le feu
Je persiste et signe, nos deux destins sont liés
Je m’en couperais les veines à en devenir fou à lier
Tuesday, May 01, 2007
Vieux Démons (3)
Je ne m'étais donc pas trompé.
Mais te voir revenir à moi comme ça...
CA! J'espérais secrètement, mais ne m'y attendais pas.
Quelle délectation...
Mais te voir revenir à moi comme ça...
CA! J'espérais secrètement, mais ne m'y attendais pas.
Quelle délectation...
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