Mes jambes flanchent alors que le sol cède
Sous mes pieds douloureux d'avoir marché trop longtemps
A errer dans un monde inconnu entre désespoir et bohème
J'ai le cœur vidé d'avoir trop aimé, mort au-dedans
Mais cette carcasse qui entame sa propre putréfaction
Peut encore faire souffrir quand le couteau est remué
Quand je cède au supplice de l'auto-mutilation
Même en bouilli, mon coeur me fait souffrir à vouloir aimer
Non! Coeur, non… il est trop tard, le temps est révolu
Tu n'as plus de sang à couler, plus de larmes à verser
Et mon âme est froide comme mes nuits dépourvues
Non! Coeur… non… ce désert aride n'a pas de fin
Inutile d'espérer, intile de rêver, il faut regarder la réalité.
Et mon âme en peine va errer. Passabblement, attendant la fin.
Monday, July 09, 2007
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