Thursday, April 27, 2006

You owe me nothing in return...

I gave you countless amounts of outright acceptance if you wanted it
I gave you encouragement to choose the path that you wanted if you needed it
You could speak of anger and doubts your fears and freak outs and I'd hold it
You could share your so-called shame filled accounts of times in your life and I'd never judge it

(and there are no strings attached to it anymore...)

You owe me nothing for giving the love that I gave
Owe me nothing for caring the way that I did
I give you thanks for receiving it's my privilege
And you owe me nothing in return

You could ask for space for yourself and only yourself and I'd grant it
You could ask for freedom as well or time to travel and you'd have it
You could ask to live by yourself and only yourself and I'd support it
You could ask for anything you wanted anything at all and I'd understand it

(and there are no strings attached to it, anymore...)

You owe me nothing for giving the love that I gave
Owe me nothing for caring the way that I did
I give you thanks for receiving it's my privilege
And you owe me nothing in return

I bet you were wondering when the next payback shoe would eventually drop
I bet you were wondering when my conditional police would force you to cough up
I bet you were wondering how far you danced your way back into debt
This was the only kind of love as I understanded it that there really was

You could express your deepest of truths even if it meant I'd lose you and I'd hear it
You could fall into the abyss on your way to your bliss and I'd empathize with
You could say that you had to skip town to chase your passion and I'd hear it
You could even hit rock bottom, have a mid-life crisis and I'd hold it

(and there are no strings attached to it anymore...)


You owe me nothing for giving the love that I gave
Owe me nothing for caring the way that I did
I give you thanks for receiving it's my privilege
And you owe me nothing in return

Alanis Morissette

Tuesday, April 25, 2006

Aujourd'hui...

... est le premier jour du reste de ma vie!
C'est dur...

Monday, April 24, 2006

Le ou les...

Pour la première fois, je te croyais pour la vie
Pour la première fois, j'aurais pu dire oui
Oui à ce bonheur de chaque instant,
Oui à se bonheur, à tes côtés, omniprésent

Mais voilà, tu as choisi,
Mais voilà tu es parti,
et puis...

Mon coeur est à nouveau meurtri
Comme je t'aimais et comme je t'aime
A nouveau, hermétique à la vie,
Je continue à mener cette vie que j'aime

Seras-tu le seul? Es-tu l'unique?
Me dévore cette question du bonheur
De celui que j'ai frôlé, futur symbolique
De celui que j'ai rêvé... N'était qu'un leurre

Et mon coeur en a saigné, mes yeux en ont pleuré
Et quelque fois, je ressens encore la douleur
Tu es parti, tu t'es échappé, sais-tu que tu pourrais regretté
Quand je serai parti vers d'autres lueurs

Car, je ne peux plus me morfondre, c'est fini
Même si l'hommme de ma vie tu as été;
Es-tu l'unique? Le seul homme de ma vie?
J'y ai cru, et me le suis répété

Mais maintenant que tu es parti,
Que je reste seul... je retrouve mes pas
Je sais à nouveau qui je suis
Tant mieux pour moi, tant pis pour toi

Bruce, je ne t'oublierai pas
Mais tes prisons ont eu raison de moi
Tu me quittes donc, je reste là...
Mais mes espoirs auront raison de mon trépas


Et demain, le soleil me sourira
Et demain, un jour nouveau s'ouvrira
Et demain, je ne pleurerai pas
Car demain, "naquira" un nouveau moi!

Friday, April 21, 2006

Et une longue, longue... prière à Rita

La candeur qui me gouverne me surprend à chaque fois,
Elle contraste tellement avec la noirceur de mon cœur
Mais je tombe sans retenue dans les maux de l’amour, de la foi
Ceux qui font mon bonheur, ceux qui provoquent mon malheur

Après la pluie le beau temps disait l’optimiste comtesse
Mais finalement, n’est-il pas préférable le temps gris ?
Un état de soi qui ne connaisse ni joie ni tristesse
Ni amour, ni dégât postérieur qui petit à petit tout détruit

C’est illusoire je tomberai à nouveau, nouvelles joies
Et nouvelles douleurs qui tirailleront mon cœur
Quand je me serai fait avoir par la force de mes émois
Quand mes lèvres, retrouveront le cramoisi de mon malheur

Crier ma douleur et arrêter cette roue du destin perpétuelle
Je n’en peux plus, souffrir est éreintant comme je sombre à nouveau
Pourquoi ne puis-je simplement me contenter de moi-même
J’aimerai tant, mais à chaque fois, je tombe pour leurs mots

Hurler ma détresse à la lune comme un loup
Puis retourner dans ma caverne et pâtir en silence
Alors que la terre tourne de bout en bout
je ne me délivrerai jamais de mes souffrances…

Tuesday, April 11, 2006

Crazy English Summer...

Fields of fire that passed the train
The sky is victorious but here comes the rain
Friday is taking me home again,
And I've nothing but you on my mind.

Grass is greener without the pain,
I think that I'm changing but I'm just the same
My sun is a ascending again
I've nothing but you on my mind

Sometimes I feel like I'm glad to be free,
Sometimes I still want your arms around me,
Sometimes I'm glad to have left you behind,
The Crazy English Summer's put you back on my mind.


Life's a riot a lover a friend,
Pity the day that it has to end
Friday come speed me home again,
I've nothing but you on my Mind.

Sometimes I feel like i'm fine on my own,
Fifty Thousand miles from home.
Sometimes I'm weak and the past is my guide,
Summer returns and puts you back on my mind,
Puts you back on my mind...


Faithless

Wednesday, April 05, 2006

Dorénavant...

Il se sent libre et moi prisonnier...

Est-ce ainsi la balance de la vie?
Injuste et cruelle, pleine de faux espoirs et de faux semblants.
Et le coeur qui n'en finit pas de saigner, encore et toujours.
Mes yeux coulent à longueur de journée,
Défile devant mes yeux la vie que je n'aurais jamais avec lui
La roue du destin n'achèvera donc jamais sa course infernale.

Ca fait mal à l'intérieur.
Ca brûle, et je me penche pour atténuer la douleur;
Celle-ci n'a rien d'exquise, elle n'est que destructrice,
Elle ramène aux peurs primaires,
Elle rappelle la dureté de la vie
Elle rappelle combien rien n'est acquis,
Que l'utopie, c'est dans le tête,
Car sur la terre, c'est un enfer.

Monday, April 03, 2006

D'un coup, plus rien n'a de sens...