Wednesday, April 05, 2006

Dorénavant...

Il se sent libre et moi prisonnier...

Est-ce ainsi la balance de la vie?
Injuste et cruelle, pleine de faux espoirs et de faux semblants.
Et le coeur qui n'en finit pas de saigner, encore et toujours.
Mes yeux coulent à longueur de journée,
Défile devant mes yeux la vie que je n'aurais jamais avec lui
La roue du destin n'achèvera donc jamais sa course infernale.

Ca fait mal à l'intérieur.
Ca brûle, et je me penche pour atténuer la douleur;
Celle-ci n'a rien d'exquise, elle n'est que destructrice,
Elle ramène aux peurs primaires,
Elle rappelle la dureté de la vie
Elle rappelle combien rien n'est acquis,
Que l'utopie, c'est dans le tête,
Car sur la terre, c'est un enfer.

2 comments:

Anonymous said...

Rien n'est jamais acquis et rien n'est peut-être même à acquérir. Mais il y a une chose sublime... c'est que tu t'as, toi; tu as aussi un pouvoir, et c'est celui de l'instant présent.

Anonymous said...

Garde bien à l'esprit que la terre peut être enfer mais aussi paradis!!!
Rappelle-toi ta première rencontre, quel paradis!!!
Rappelle-toi ta première rupture, quel enfer!!!
Rappelle-toi ta deuxième rencontre, quel paradis!!!
Rappelle-toi ta deuxième rupture, quel enfer!!!
Peut-être que maintenant tu te situes dans l'enfer mais je te garantis que la paradis est à deux doigts de toi!

Une banalité : le temps, le temps, le temps!